1. Marlène (chapitre 3)


    Datte: 10/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... une heure, ou deux, ou trois, je ne sais pas mais c’est un siècle.
    
    Brusquement, ils pénètrent à quatre dans la salle. Me saisissent, me soulèvent et me mettent debout, détachent la chaîne qui entrave mes pieds et me détachent les mains puis les placent brutalement sur ma tête. L’un d’eux vient par derrière et m’écarte les chevilles à petits coups de pied. Je suis écartelée et je perds l’équilibre. Je tombe par terre. On me saisit, on me colle deux gifles et on me remet dans la même position. Deux autres hommes et une femme les rejoignent. Ils sont sept maintenant en face de moi, à me regarder, nue, transie de froid et terrorisée. La femme s’avance vers moi. Elle a la cinquantaine, très mince avec un regard d’une cruauté sans limite. Elle semble être le chef du groupe. Elle passe la main sur mon sexe, le fouille, saisit mes mamelons, les pince puis les tord. Je voudrais hurler mais j’ai toujours le bâillon.
    Elle me lâche et recule, puis jette un ordre: enlevez lui ce bâillon et attachez la sur la table, bien serrée. Nous allons avoir une longue conversation.
    
    Ils m’ont enlevé le collier, les bracelets aux pieds et aux mains, ainsi que le bâillon. Il m’ont jetée sur la table et m’ont attachée. J’ai une sangle autour du cou, une sous la poitrine et une à la taille. Mes bras sont sanglés au dessus du coude et aux poignets, mes jambes au dessus et en dessous du genou, tout en haut de la cuisse ainsi qu’à la cheville. J’ai les bras en V  de part et d’autre de ma tête et les ...
    ... jambes ouvertes à 120 degrés. Je suis incapable de bouger d’un millimètre. Je suis totalement à leur merci.
    
    Venez, dit la femme au groupe. Nous allons aller souper. On va la laisser mariner une heure ou deux. Mais laissez-lui quand même quelque chose pour ne pas qu’elle s’ennuie, ajouta t-elle d’un regard mauvais.
    
    L’un des hommes s’approche de moi et me crache sur les seins, avant d’étaler sa salive sur les deux mamelons et d’y placer deux pinces reliées à la console. Il tourne quelques boutons puis actionne un interrupteur. Aussitôt, je me raidis dans mes liens et je hurle. Cette décharge me transperce la poitrine. C’est horrible! Ça s’arrête au bout de deux secondes. J’essaie de reprendre mon souffle. Je n’en ai pas le temps. Une autre décharge suit, quelques secondes plus tard.
    
    « Ce sera toutes les quinze secondes », ricane la femme. « Et arrête de crier. Si tu ne nous laisse pas manger en paix, je t’en ajoute un dans le vagin. »
    
    Je serre les dents pour ne pas crier, mais en vain. Ça fait trop mal. Je hurle à chaque décharge. J’entends quelqu’un arriver à toute vitesse. Je prends deux gifles et je sens qu’on m’introduit un objet métallique dans le sexe. C’est énorme! Ça doit avoir au moins cinq centimètres de diamètre. Il l’a enduit de de gel conducteur pour augmenter son efficacité et faciliter sa mise en place. Il actionne un autre interrupteur.
    
    La décharge suivante atteint les trois zones. C’est intolérable. On dirait qu’une main géante est entrée dans mon ...
«12...567...12»