1. Marlène (chapitre 3)


    Datte: 10/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... détermination. Tu est ponctuelle, obéissante, franche et tu cherches vraiment à progresser. Je vais te guider vers cette libération, vers ces choses que tu espères et que tu crains à la fois, et que tu vivras bientôt. Maintenant, je vais te demander de me raconter en détail deux de tes fantasmes les plus osés. Je ne peux pas de promettre de les réaliser mais je tiendrai compte de tes récits dans le programme des semaines à venir. Installe toi à genoux devant moi, genoux écartés, mains sur les cuisses, épaules en arrière.
    
    Elle obéit, sans hésitation. Il la regarda droit dans les yeux et lui ordonna de ne pas bouger. Il installa alors une caméra sur un trépied, alluma un spot braqué sur elle et démarra l’enregistrement.
    
    Vas-y, je t’écoute. Commence par le début. Où es-tu et qui est avec toi?
    
    Elle inspira profondément. Son cœur battait très vite et son souffle était court. Elle ne savait pas où regarder. Il s’en aperçut et lui ordonna de fixer l’objectif de la caméra. Elle s’exécuta et commença son récit. Elle sentait le sang monter à ses joues et ses mains trembler. Elle commença pourtant son récit.
    
    Je suis dans une espèce de cave, assez sombre. Je suis toute nue, j’ai les pieds entravés, les mains attachées derrière le dos et je suis attachée au mur par un collier métallique fermé par un cadenas et relié au mur par une chaîne. J’entends les voix de plusieurs hommes, cinq au moins mais je ne peux pas les voir. J’ai froid. Je regarde autour de moi. Je suis dans une ...
    ... véritable salle de torture. Une grande table en bois en forme de X trône au milieu de la pièce. Elle est munie de chaînes, de bracelets pour les pieds et les mains. Les murs et les étagères sont couvertes d’instruments bizarres. Fouets et cravaches de toutes sortes, pinces diverses, avec ou sans dents, chaînettes, poids, godes en bois, en métal, en plastique ou en cuir, de toutes formes et de toutes dimensions, plus une petite console que je ne peux pas bien voir mais d’où sortent de nombreux câbles électriques. Je comprends que c’est une machine destinée aux électrochocs. Je panique. Je hurle. Un homme entre à grands pas dans la pièce. Il est immense, athlétique, tatoué partout sur le torse. Je hurle de plus belle. Je reçois  quatre gifles en plein visage. Je hurle. Il m’introduit un bâillon en forme de boule dans la bouche qu’il attache avec une sangle derrière ma nuque. Je me débats. Il me flanque deux gifles de plus et s’en va, me laissant en larmes.
    
    Je reste là plus d’une heure, essayant d’écouter les conversations dans la pièce à côté mais ils sont trop loin. Un moment, un autre homme entre dans la salle et me balance un seau d’eau glacée dessus. Vraiment glacée, c’est en fait un mélange d’eau et de glaçons. J’étouffe, d’abord, car il me l’a lancé en plein visage et le bâillon m’empêche de respirer par la bouche. Ensuite, je sens le froid me transpercer jusqu’aux os. Je suis transie et je tremble comme une feuille mais ils me laissent là, sur le pavé glacé, pendant ...
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