Marlène (chapitre 3)
Datte: 10/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... force de pleurer.
La femme se lève et s’approche de moi. Je tremble. Elle pose doucement sa main sur mon sein et me caresse, lentement. Elle me fait tellement peur que tout mon corps se raidit. Elle place son visage en face du mien et me fixe. Je baisse le regard, terrorisée. Quels sévices a t-elle encore derrière la tête? Je ne vais sûre pas tarder à le savoir. Mais sa main continue sa caresse, délicatement. Elle touche le mamelon, qui se dresse et durcit. Elle le pince très légèrement, le fait rouler entre ses doigts. Je me détends un peu. Son autre main se pose sur mes petites lèvres. Je grimace. Toute cette zone est tellement douloureuse.
« Eh bien, ma douce, quelle séance, pas vrai? Tu as besoin de reprendre des forces. C’est l’heure du déjeuner. Lève toi. »
J’essaie de m’assoir, en vain. J’ai trop mal. Elle me redresse en me soulevant par les épaules. Je crie de douleur. Je dois être déchirée de partout. Elle replace une chaînette entre les bracelets de mes pieds, 50 centimètres environ. Me place un collier de cuir autour du cou, puis y attache mes poignets, par dessus ma tête. Je la laisse faire, sans rien dire, résignée. Elle me bande les yeux et me place une pince sur chaque mamelon. Ces sont des pinces-crocodiles, munis de petites dents acérées. Je sens que des cordes sont reliées à ces pinces. Elle tire légèrement dessus, de l’arrière. Je gémis.
« Allez, debout! En avant! Je vais te guider. »
J’essaie de me mettre debout mais rapprocher mes genoux ...
... est impossible. La seule position pour que la douleur soit tolérable est genoux pliés et jambes arquées, puisque mes pieds sont entravés.
Elle est derrière moi. Elle donne une impulsion sur les deux pinces à la fois, de haut en bas. « Allez, avance! ». Je fais un pas, puis deux. J’ai mal partout. La plante de mes pieds est toujours très sensible. Elle secoue mes mamelons avec les cordes. « Allez! Plus vite! » dominant ma souffrance, je me mets à marcher, trébuchant à chaque pas. Elle rectifie ma trajectoire en tirant sur les pinces. Je dois parcourir une centaine de mètres, ainsi. Soudain, elle tire les deux cordes en arrière, sèchement. « Stop! Tu es arrivée. Mets-toi à genoux, je vais t’enlever les pinces. »
J’obéis, toujours sans réaction. Je suis devenue un objet sexuel inerte et sans volonté. Elle enlève les pinces puis me détache les pieds et les mains. Je grimace et je gémis. Ces pinces font beaucoup plus mal quand on les enlève que quand on les met. Elle m’enlève le bandeau. La pièce est très claire et la lumière m’éblouit. C’est une grande pièce, blanche, avec une grande table, des chaises et une petite cuisine équipée. Tous les hommes sont là, à table. Ils me regardent, goguenards.
J’ai faim et j’ai soif. Je n’ai plus rien mangé ni bu depuis 36 heures. Mais il n’y a que sept chaises et sept assiettes à table. Ça doit encore être l’une de leurs méchancetés. On m’a laissé le collier de cuir. Elle y attache une fine laisse de cuir noir.
« A quatre pattes, ...