1. Marlène (chapitre 2)


    Datte: 09/09/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club

    ... de facilité. Heureusement, dans un peu plus d’une heure, elle allait devoir s’habiller et prendre sa voiture pour porter ses jupes chez la couturière. Comment pourrait-elle conduire dans cet état et même, comment pourrait-elle supporter un slip ou une culotte. Comment ferai-t-elle si la couturière lui demandait de passer la jupe pour marquer les lignes de coupe. Ne pas porter de dessous n’était pas envisageable. Une culotte descendant suffisamment bas pour cacher les marques était la meilleure option mais les seules qu’elle possédait était très serrantes et allait la faire souffrir le martyre. Elle n’avait pourtant pas le choix. 
    
    Ou plutôt si. Pourquoi ne pas assumer ses blessures et ses marques face à cette femme inconnue. Si elle ne se montrait que de dos en se changeant, elle ne pourrai pas voir grand chose. Il y avait peut-être même une cabine d’essayage pour se changer. On verrai bien, ce serai un bon test. Elle décida donc de s’y rendre vêtue d’un string, qui ne cachait que très mal les lèvres boursouflées et bleuies de son sexe et qui bien sûr laissait apparaître toutes les marques, encore bien visibles, de coups de ceinture.
    
    Midi sonna. Dernière séance de pose de la journée. C’était toujours douloureux mais pour le reste, ça devenait déjà de la routine. Elle passa les dix minutes à observer son corps. Elle avait pas mal de kilos en trop mais globalement, son physique était plutôt harmonieux. Sa poitrine, surtout, ronde et bien remplie, ferme, avec des aréoles ...
    ... bien marquées et des mamelons qui se dressaient vers l’avant, de plus d’un centimètre. Un peu de cellulite sur les cuisses et les fesses, mais une peau qui restait douce et satinée.
    
    Une fois libérée, elle relut le mail de la veille. Il y était précisé qu’elle devait rester nue jusqu’à 13 heures. Elle révisa alors ses positions devant le miroir, grimaçant de douleur à chaque changement d’attitude. Les positions les plus humiliantes la gênaient de moins en moins. Elle sentait un changement profond se faire en elle. Elle commençait à assumer son corps et sa sensualité. Mais il lui restait beaucoup de chemin à faire. Pour la première fois depuis des heures, elle essaya de s’assoir. Elle déposa un coussin sur le canapé et s’y posa avec mille précautions. Elle cria pourtant quand ses lèvres appuyèrent sur le tissu rêche. Il fallait pourtant y arriver. Dans 10 minutes, elle serai au volant de sa voiture et elle devrai conduire, débrayer, freiner, accélérer, malgré la brûlure intense qui envahissait tout le bas de son ventre. 
    
    Quand 13 heures sonnèrent, elle monta dans sa chambre, toujours avec cette démarche de canard et en hésitant à chaque pas. Elle choisit alors un string en coton, sans couture. Elle l’enfila en gémissant. Même le doux tissu la brûlait horriblement. 
    Soudain, la solution pour cacher ses marques lui apparut, comme une évidence: des panties. Ils ne laisseraient rien paraître. Encore fallait-il pouvoir se enfiler. 
    
    Elle se ravisa alors. Où étaient passées ...
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