Hallucination - Billevesée et Gaudriole !
Datte: 21/06/2018,
Catégories:
fh,
fffh,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
historique,
Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe
... moiteur lénifiante du sable, pourléché par la fraîcheur des vaguelettes, sans fougue indélicate, je la pénétrai calmement. Elle se resserra sur mon épieu ardent et se révulsa presque immédiatement. Prévoyant la barrière de l’hymen, je modérais mes débordements au mieux, mais d’hymen il n’était plus. J’avoue avoir été dépité par cette déficience qui nourrit des interrogations que me firent tout aussitôt oublier les enthousiasmes de ma partenaire. Nos ventres roulèrent l’un contre l’autre dans une danse furieuse. Elle tordait en gémissant ses bras adorables au-dessus de sa tête. L’ondulation de ses cheveux mouillés tapissait sa poitrine laissant dépasser la pointe d’un mamelon accort et enflé. Tout en continuant de la fourbir, je m’en saisis et le pinçai entre mes doigts maculés de sable. La belle râla et c’est elle qui accéléra le mouvement qui alternativement me plongeait en ses tréfonds puis à nouveau m’en extirpait en cette glorieuse charge. Un arc-en-ciel éblouit tous mes sens tandis que je m’épanchai et qu’elle se raidit dans l’orgasme. Je ressaisis ses lèvres à l’instant où elles exhalaient ce qui nous restait de vie et avant qu’une seconde plus tard, elles ne se tendent vers d’autres désirs naissants. Époumoné, comme elle, je m’effondrai sur son corps ne parvenant plus qu’à dispenser de médiocres caresses sur son front brûlant.
Relevant les yeux, je vis sa mère s’enfuir d’un pas léger et disparaître au coude de l’Andlau. Elle nous avait donc sans vergogne espionnés ...
... ; à quelle fin et quel jeu jouait-elle ?
— C’est donc cela l’amour, parvint-elle à chuchoter après avoir repris haleine, les yeux pleins d’étoiles et d’une véritable surprise, dans une question qui m’étonna fort au vu des découvertes que je venais de faire. Oh, mon ami, réitérons cette plaisante expérience dont je crains n’avoir pas saisi toutes les subtilités.
Promptement alors, nous récidivâmes étalant nos insouciances et nos emportements sur le sable jusqu’au plus complet harassement.
J’aidai ensuite tant bien que mal Mademoiselle Käthe à se rhabiller en constatant que mes talents de camériste s’amélioraient rapidement et nous prîmes le chemin de la maison échangeant tous les dix mètres de fougueuses embrassades. Cheminant de la sorte, je songeais qu’en deux jours seulement, j’étais passé du statut de puceau à celui de sultan régnant sur une cour de trois maîtresses aussi vives, exigeantes et épuisantes que ne l’aurait été un harem de cent courtisanes et me demandais s’il fallait se réjouir ou s’inquiéter de cette aubaine.
Sitôt que de retour, elle s’éclipsa tandis que je me rendais au village chez le menuisier afin que celui-ci me confectionne un double châssis gigogne de sorte qu’un tableau puisse s’emboîter et ainsi se dissimuler dans l’autre. J’avais heureusement apporté suffisamment de toile pour pouvoir faire réaliser cet ouvrage. Il me proposa de livrer l’objet dès le lendemain matin, mais, soucieux de discrétion, je lui dis que je viendrais le quérir ...