1. Le journal des Glénants : deuxième partie


    Datte: 18/06/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fsodo, lettre, lettres, initfh, Auteur: Flamarviec, Source: Revebebe

    ... dressé dedans moi, provoquant des sensations qui évoquaient la montée inexorable de l’orgasme que je venais de subir. Gabrielle m’a doucement pris la main. Tout d’un coup, j’ai senti qu’elle tressaillait et elle m’a serré convulsivement la main. Je ne la voyais pas et c’est Pierre qui m’a expliqué qu’elle était allongée sur le dos et que Ludwig venait pour la première fois de l’enculer, à la missionnaire ! Un instant plus tard il était remplacé par Hans. Ils se sont ainsi relayés en elle jusqu’à ce que Gabrielle pousse un cri où l’on entendait toute la surprise que lui causait cet orgasme d’un type nouveau, elle qui avait connu des milliers d’orgasmes, combien variés, depuis cinq ans avec ses deux amants-maris. Pierre s’était remis à bouger lentement en moi provoquant toute une série de spasmes jusqu’à ce qu’il éjacule à nouveau au fond de mon corps.
    
    Nous nous sommes relevés et douchés puis avons retrouvé notre chambre. Trois fois je me suis réveillée dans la nuit allongée sur le côté, trois fois Pierre pénétrait mon anus. Puis, après un instant immobile, il bougeait en moi comme s’il était dans mon vagin, faisant de puissants va-et-vient qui réveillaient cet orgasme que j’avais ressenti le soir et dont la violence m’avait tant surprise.
    
    Une main caressait mon sein droit, avec tendresse, qui n’était pas celle de Pierre. La caresse ressemblait à TA caresse sur mes seins mais ce n’était pas TA caresse. Je m’éveillai dans une infinie douceur. Éric était à genoux près du ...
    ... lit et me faisait signe de me lever sans faire de bruit. Pierre était encore dedans moi mais tout relâché. Je n’ai pas eu de peine à le sortir de mon anus et à m’écarter de lui. Il a simplement émis un grognement puis s’est tourné vers l’autre côté du lit. Éric avait filmé toute la scène. Oh ! Mon Marc ! Tu pourras contempler ta femme se levant après une nuit de folles sodomies qui lui ont fait découvrir des orgasmes inconnus. J’étais heureuse.
    
    Après une petite douche bienfaisante je me suis retrouvée dans la cuisine où Éric avait préparé le café. Tandis que je déjeunai en face de lui, il a pris un air sérieux adorable et sans oser me regarder m’a avoué :
    
    — Pardonne-moi Flavie pour t’avoir caressée sans te demander la permission. Je voulais t’éveiller en douceur. Depuis que tu as offert à mon regard tes seins avec leurs pointes érigées lorsque je t’ai photographiée pour la première fois, je voulais les toucher, éprouver leur douceur. Ce sont des objets mystérieusement émouvants : absents et pourtant présents. D’ailleurs, si tu es d’accord je ferai un poster pour mon salon de la photographie que j’ai prise de tes seins caressés par le soleil avec l’ombre de leurs pointes dressées et ton visage si éclatant.
    
    Ses paroles m’ont si fortement émue qu’une impulsion m’a fait me lever, prendre ses deux mains et les poser sur mes seins sous le léger tee-shirt que je portais. Il est resté un long moment immobile, mes pointes se sont dressées au creux de ses paumes et il a dû ...
«12...8910...14»