1. Le journal des Glénants : deuxième partie


    Datte: 18/06/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fsodo, lettre, lettres, initfh, Auteur: Flamarviec, Source: Revebebe

    ... ému comme la première fois où j’ai sodomisé quelqu’un, c’était mon meilleur copain.
    
    Le sexe de Pierre palpitait, allongé de mon anus à mon clitoris. Il trichait peut-être un peu, en effleurant toujours mes seins, mais il faisait monter en moi le désir de le recevoir. Il m’a lentement soulevée en plaçant ses mains sous mes fesses. Son gland a glissé effleurant mon sexe en insistant un peu plus qu’il n’aurait été nécessaire, me provoquant de légers spasmes. Puis son sexe a quitté ma fente pour venir de lui-même se placer face à mon anus encore contracté par la présence des autres. Il a relâché doucement la pression de ses mains et j’ai alors senti la pression de son sexe sur ma corolle. Il s’est immobilisé et j’ai lu dans ses yeux un tel désir que j’ai oublié mes inhibitions et mon anus s’est ouvert de lui-même permettant une première introduction. Je connaissais déjà cet instant magique où nous nous laissons aller à cette intrusion qui violente notre corps et l’angoisse qui nous envahit lorsque notre deuxième sphincter s’ouvre comme s’il abandonnait la lutte.
    
    Son sexe se mit ensuite à glisser précautionneusement en moi et il retira ses mains qu’il posa sur mes genoux. Il resta là, immobile, un long moment comme pour marquer sa possession. Préoccupée par son intrusion, j’avais oublié les autres mais à nouveau je ressentai leurs regards sur notre couple et cela déclencha un frisson de tout mon corps qui fut comme le prélude de la lente montée d’un orgasme dont j’avais ...
    ... déjà ressenti les prémices au cours des autres sodomies qu’il m’avait imposées. En effet, lorsqu’il a recommencé à lentement bouger en moi, ce fut comme s’il mobilisait toutes les fibres de mon corps vers un seul but : me donner du plaisir, et quel plaisir ! Sa montée était lente mais inexorable, presque angoissante. Pierre se déplaçait dedans moi avec douceur ou avec vigueur et les vagues de plaisir augmentaient d’intensité. Il ne lâchait pas mes genoux qu’il caressait au vu et au su de tous. Je savais maintenant que j’allais offrir à nos copains et copines et, plus précieux encore pour moi, à Gabrielle, un orgasme immense que je ne contrôlais plus et qui allait bouleverser mon corps. C’est comme si tous ceux qui étaient là me caressaient effectivement.
    
    Oh ! Marc, je me suis abandonnée à un orgasme dévastateur qui mobilisait toutes les parties de mon corps et qui m’a comme tétanisée. C’était plus profond que les orgasmes dans mon vagin ou par mes seins, plus angoissant aussi. Je crois que j’ai murmuré ton nom au plus fort de cette tempête lorsque j’ai senti les soubresauts du sexe de Pierre qui se déversait dans mon rectum. Je ne sais si j’aurais eu le courage d’accepter cela si tu avais été avec nous. Puis je suis tombée dans une sorte d’inconscience.
    
    Lorsque j’en suis sortie, la nuit était tombée. Il ne restait que Gabrielle et ses deux amants qui faisaient l’amour avec douceur tout près de nous. Pierre et moi ne bougions pas. Son sexe était toujours (ou de nouveau) ...
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