1. Le journal des Glénants : deuxième partie


    Datte: 18/06/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fsodo, lettre, lettres, initfh, Auteur: Flamarviec, Source: Revebebe

    ... tressailli. Pierre n’a évidemment rien compris à mon émotion, il m’a serrée un peu plus fort et a monté ses mains à la limite de mes seins puis sa tête contre la mienne il m’a dit :
    
    — Ce soir, je n’ai pas envie de te faire l’amour, je veux rester contre toi simplement. Ne me demande pas pourquoi, je ne saurai te répondre ! Après tout nous sommes les maîtres de maison. Veux-tu que nous dormions dehors ?
    
    À vrai dire, moi non plus je ne désirais pas vraiment faire l’amour. J’étais énervée par l’idée de la régate qui devait se dérouler le lendemain et surtout l’absence de Marc, dont je venais seulement de prendre conscience, me troublait profondément. Et puis c’était assez excitant de savoir attendre.
    
    Aussitôt il m’a lâchée et a pris deux transats qu’il a disposés devant notre fenêtre. Je me suis allongée a ses côtés, il a déboutonné les deux boutons de ma nuisette, dénudant mes seins. Les yeux dans les étoiles, je lui ai posé la question :
    
    — Est-ce que tu aimerais prendre Gabrielle ? Elle est si belle et émouvante, crois-tu qu’elle fait l’amour avec ses deux copains ?
    
    Il a mis un moment pour me répondre :
    
    — Pour moi, Gabrielle n’est que belle ! Toi, tu es autre chose, et tant que tu seras avec moi, je n’aurais aucune envie de lui faire l’amour.
    
    Il a pris ma main qu’il a posée sur son sexe et n’a plus bougé. Lorsque je fus assurée qu’il dormait profondément, j’ai, par jeu, placé sa main sur son propre sexe et j’ai posé la mienne au-dessus. J’ai senti vibrer ...
    ... et durcir. J’étais curieuse de voir sa réaction lorsqu’il s’éveillerait !
    
    A-t-il entendu quelques instants plus tard Gabrielle et les deux garçons s’allonger sur un grand matelas près de la piscine ? Nous étions dans l’ombre mais la lune éclairait la scène. Dans un demi-sommeil dont j’émergeais de temps en temps, j’ai vu à plusieurs reprises Gabrielle faire l’amour avec Hans puis avec Ludwig, qui la possédaient jusqu’à l’orgasme dont elle sortait pantelante à chaque fois.
    
    Plus tard, deux lèvres sur les miennes m’ont éveillée. Je n’ai pas eu besoin d’ouvrir les yeux pour savoir qu’il s’agissait de Gabrielle dont je sentais l’odeur. Je n’ai pas bougé. Un instant plus tard ces lèvres étaient sur mon sein et, là, je n’ai pu retenir des spasmes qui m’ont brusquement assaillie sous l’effet de la surprise et du plaisir.
    
    Encore tes petits seins que tu aimes tant, Marc. Ils sont incorrigibles depuis que tu as fait leur éducation. J’ai pris la tête de Gabrielle et je l’ai appuyée contre ma poitrine et je lui ai avoué :
    
    — C’était émouvant de te voir faire l’amour avec tes deux copains. Te prennent-ils souvent ainsi l’un après l’autre ?
    — Certaines fois toute la nuit, j’en sors épuisée mais éblouie. Lorsqu’ils sont ainsi, si je veux pouvoir travailler le lendemain matin, il faut que l’un d’eux aille dormir dans une autre chambre !
    — Et …(j’hésitai un instant) est-ce qu’ils t’ont déjà prise tous les deux à la fois ?
    
    À ce moment j’ai su que Pierre s’était réveillé car il a ...
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