Travaux Routiers - Couplets 2 et 3 - Histoires de Sexe

Travaux Routiers - Couplets 2 et 3

... ?

La jeune fille ne dit mot, absorbée par sa contemplation.

— T’aimerais que je m’en serve avec toi, hein ?
— Oh non !
— Pourquoi ? Ça te plairait pas ?
— Je… je…
— T’as peur que ça te fasse mal, hein ?
— Ou… oui.
— Écoute. Je vais m’étendre sur le dos. Tu vas t’accroupir au-dessus de moi et descendre doucement. Comme ça, tu pourras t’arrêter si tu as mal.
— Vous croyez ?
— Qu’est-ce que ça coûte d’essayer ?

Louis baisse son caleçon. Lisette rougit à la vue des couilles poilues.

— Enlève ta culotte !

La jeune fille n’est plus en état de résister. Elle ôte son dessous, sans quitter l’énorme queue du regard. Elle meurt de trouille, mais est incapable de renoncer à l’expérience. Elle s’accroupit sur les talons, se place au-dessus de la queue que Louis maintient bien droite.

— Ouvre bien ton con.

Lisette écarte des doigts les lèvres roses. Louis ne perd rien du spectacle et banderait encore plus si c’était possible à la vue des poils roux et des muqueuses luisantes. Il voit même l’orifice qu’il s’apprête à investir. La jeune fille s’abaisse, Louis fait bouger son sexe pour que le gland prenne place face au vagin.

— Tu peux y aller… doucement… oui… Ça rentre ?
— Ou… oui.
— Descends encore… Ça fait mal ?
— No… non.
— Encore… le gland y est presque… Ça y est, je le vois plus.
— Il est rentré ?
— Je pense, à moins que tu me l’aies coupé !

Lisette étouffe un rire silencieux. Elle appuie plus fort. Son vagin tire, à force de dilatation, mais ...

... c’est supportable. Elle sent le gland s’enfoncer. Oh, cette sensation ! Elle en oublie de freiner la descente.

— Aïe !
— Soulève-toi un peu… oui, ça va mieux ? Tu devrais t’agenouiller, au lieu de rester accroupie… Tu y arrives sans que ça sorte ?… Oui… C’est bien. Tu contrôleras mieux tes mouvements.

Lisette se soulève puis descend à nouveau. Son vagin a pris la dimension de la queue. Les tiraillements cessent, ne reste que le sentiment de plénitude qui l’envahit à la pensée de recevoir cette queue que toutes les femmes qu’elle connaît veulent pour elles. Elle commence à chevaucher en cadence.

— Tu sais ce qui me ferait plaisir ?
— Deman… Aah… Demandez-moi.
— Montre-moi tes nichons. J’ai envie de les peloter.

Lisette, le con bien rempli, a dépassé le stade de la pudeur. Elle ôte sa chemise en souriant. Louis soutient les globes de ses paumes placées en coupole. La jeune fille reprend sa chevauchée. Lui est aux anges. Il baise une jolie fille à poil qu’il patouille à loisir, le plaisir du sexe allié à celui des mains et des yeux, le pied quoi !

OooOOOooO

L’automobile roule sur les routes en mauvais état.

— Vrai, rouspète Marie-Amélie. Où sont passés les cantonniers ? Que font-ils, au lieu de réparer les ornières ? Enfin, sur cette section, il me semble que la route est en meilleur état.
— Je crois qu’il y en a un dans les parages, annonce Hubert, qui aperçoit les outils que Louis a laissés sur le bord de la route.
— Arrête-toi, qu’on l’interroge.

Le ...