1. Travaux Routiers - Couplets 2 et 3


    Datte: 17/06/2018, Catégories: fh, extracon, nympho, grossexe, campagne, voiture, pénétratio, fsodo, init, Humour nature, Auteur: Cidoup, Source: Revebebe

    ... n’en doute pas, mais j’ai peur pour ma robe. Les taches d’herbe sont dures à faire partir.
    — Ah ! Je comprends, ce serait gênant.
    
    Il hoche la tête, fait mine de réfléchir, regarde de droite et de gauche.
    
    — Je vois pas de solution, à moins que…
    — À moins ? interroge-t-elle pleine d’espoir.
    — Si tu prends bien soin de soulever ta robe avant de t’asseoir, elle se tachera pas.
    — Vous croyez ?
    — Oui, comme rien n’appuiera sur le tissu il arrivera rien.
    — Je veux bien essayer.
    
    Elle soulève sa jupe et la maintient à la taille dévoilant des jambes roses et une culotte blanche. Louis en salive d’avance. Lisette s’assoit sur les genoux, la vision disparaît. Elle étale la robe autour d’elle.
    
    — Tu vois, tu risques rien.
    — Je reconnais que vous avez raison.
    
    Ce n’est pas pour admirer la robe de la donzelle qu’il est venu sous les ombrages. Louis décide de brusquer les opérations.
    
    — Qu’est-ce qu’on disait, tout à l’heure ? Ah oui ! Je te proposais de constater par toi-même la taille de mon zob.
    — Monsieur Louis ! Je vous en prie, ne dites pas de gros mots, vous allez me faire rougir !
    — Appelle-le comme ça te chante, moi, ça me fait rien. Je te le montre ?
    — Euh…
    
    Prenant l’hésitation pour une approbation, il dégrafe sa ceinture et baisse le pantalon. La bosse qui déforme le caleçon est éloquente. Lisette avance le torse pour se rapprocher. Louis fait semblant de s’emberlificoter dans ses dessous.
    
    — Tu veux bien m’aider ?
    — Qu’est-ce qu’il faut faire ? ...
    ... demande-t-elle en se soulevant sur les genoux et tendant la main.
    — Attention ! Tu appuies sur ta robe.
    
    Lisette se redresse. Elle contrôle, pas de tache. Elle reste là les bras ballants ne sachant que faire.
    
    — À ta place je l’enlèverais, suggère Louis avec un zeste d’hypocrisie.
    — Vous… vous croyez ?
    — Comme ça, t’auras plus peur de l’abîmer.
    
    Lisette hésite. Se déshabiller devant un homme ! D’accord, elle a envie de voir cette queue dont tout le monde parle, et elle devine ce qui se passera alors, mais quand même…
    
    — Allez, un peu de courage, on va y rester cent sept ans ! On peut rien voir de la route. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai choisi cet emplacement.
    — Vous y avez amené d’autres femmes ?
    — Bien sûr ! Qu’est-ce que tu crois ? Et elles n’ont pas fait tant de chichis, elles !
    
    En soupirant, elle tourne le dos à Louis.
    
    — Dégrafez-moi, s’il vous plaît.
    
    Il s’empresse. Elle fait passer la robe par-dessus la tête. Il la lui prend des mains et la suspend à une branche morte.
    
    — Elle risquera rien, là-haut.
    
    Il évite de regarder la jeune fille, pour ne pas la gêner. Pourtant ce qu’il a aperçu vaut le coup d’œil !
    
    — Tu m’aides à ton tour ?
    — Oui, tout de suite.
    
    Lisette n’a pas de difficultés à extraire l’engin du caleçon.
    
    — Oh !
    — Elle est grosse, hein ?
    — Oh oui ! murmure-t-elle en caressant machinalement la tige.
    
    Elle est fascinée par le bout du gland et le méat qui bâille quand elle descend les mains.
    
    — Ça te fait envie, hein ...
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