Travaux Routiers - Couplets 2 et 3 - Histoires de Sexe

Travaux Routiers - Couplets 2 et 3

... en retroussant sa robe sur les hanches.

— T’as une belle chatte, tu sais, la plus belle que je connaisse.
— Et toi une queue faite pour baiser, réplique-t-elle en lorgnant sur l’engin qu’Hubert extrait de son pantalon. Approche et satisfais ta maîtresse !

Hubert ne se le fait pas répéter. Il écarte les cuisses de Marie-Amélie et enfonce son dard dans le sexe de la jeune femme.

— Ouiii ! Aah… Vas-y à fond ! Aah… Perce-moi… Aah… de ton gros vit… Ouiii ! Encore ! Aah… J’aime sentir… Aah ! tes couilles… Aah… cogner contre… Aah ! contre mes fesses ! Aah… Plus vite ! Aaaah… Que c’est bon !

La voiture tangue au rythme des coups de reins d’Hubert qui ne ménage pas sa peine. Il passe les bras sous les cuisses. Marie-Amélie pose les jambes sur les épaules de son amant.

— Ouiii… Aah ! Défonce-moi ! Aah… Je sens ton gland… Aah… comme s’il… Aah ! voulait entrer… Aah… dans l’utérus… Ooooh… Que c’est bon… Aaaaah ! ton foutre m’inonde… Ouiiii… Je pars ! Aaaahh… Encore ! Aaaaah !

Hubert donne deux coups de reins supplémentaires pour vider ses couilles et retire sa queue pendante.

— Madame est satisfaite ? interroge-t-il, après avoir repris sa respiration.
— Passe-moi un linge.
— Voilà, voilà.

Il tend sa pochette à la jeune femme.

— Merci.

Marie-Amélie essuie son sexe dégoulinant et rend le mouchoir souillé. Hubert le renifle.

— J’aime sentir l’odeur de ton sexe.
— Et celle de ton foutre par la même occasion. Aide-moi à me relever et montre-moi ce que tu ...

... as préparé.

Ils s’installent sur une couverture qu’Hubert a étalée à l’ombre et font honneur aux victuailles. Les oiseaux, que les grincements de la voiture balançant sur ses ressorts avaient effrayés, ont repris leur gazouillis. Après le repas, Hubert remballe le panier à provisions et le range dans la malle arrière de l’automobile. Marie-Amélie, accroupie, s’amuse à regarder le manège des fourmis qui ramassent les miettes de pain. Hubert s’avance par derrière. La jeune femme se laisse aller contre le torse de son amant. Il défait les boutons du corsage, mais ses caresses sont arrêtées par le corset qui emprisonne les seins.

— Zut, ce corset ! Tu sais bien pourtant que j’aime te caresser les nichons.
— Je sais mon chou, mais je ne pouvais sortir en négligé après avoir annoncé à tout le monde que nous partions en inspection… Ce soir, je te promets, tu me rejoindras dans ma chambre dès que mon époux sera venu me souhaiter bonne nuit.

Il la fait retourner et farfouille sous la jupe.

— Oh le coquin ! Il n’en aurait pas eu assez ?
— Tu as eu ton apéritif, moi je réclame mon dessert.
— Prenons-le ensemble, moi aussi j’en veux.

La jeune femme s’active sur la ceinture qu’elle dégrafe.

— Ôte ton pantalon, il te gêne.

Hubert s’en débarrasse ainsi que du caleçon. En liquette, il s’installe entre les cuisses de Marie-Amélie. Celle-ci empoigne la verge toute droite et l’enfonce dans son vagin.

— Aah !
— Hein que t’aimes ! Aah… quand je te baise !
— Ouiii !
— ...