Travaux Routiers - Couplets 2 et 3 - Histoires de Sexe

Travaux Routiers - Couplets 2 et 3

... Hein que tu aimes ! Aah ! être bousculée !
— Ouiii… Bouscule ! Aah… Bouscule-moi ! Aah… Aïe !
— Qu’as-tu ? Je t’ai fait mal ?
— Non, ce sont les pierres sous la couverture qui martyrisent mon dos.
— Accroche-toi à moi.

Hubert se redresse, la jeune femme agrippée à lui comme un petit singe à sa mère. Il la transporte à l’auto et la dépose sur la banquette sans se désunir. Les ressorts gémissent ainsi que les amortisseurs sous les coups de boutoir qu’il inflige à sa partenaire et qu’elle reçoit sans se plaindre. Hubert se retire avant la conclusion.

— Qu’est-ce qui te prend ? s’étonne-t-elle.
— Tourne-toi.
— Pourquoi.
— Tourne-toi, tu verras.

Elle obéit, un peu inquiète. Le chauffeur soulève la jupe sur les reins dévoilant une magnifique paire de fesses.

— J’aime ton cul. Il mériterait que tout le monde l’admire.
— Ne dis pas de bêtise !

Il caresse la raie du gland.

— Tu… Tu veux m’enculer ?
— T’aimerais pas ?
— Je ne sais pas, j’ai peur.
— Peur de quoi ?
— T’as une si grosse queue.
— Je te promets de faire attention… Monte à quatre pattes sur la banquette poursuit-il après une minute de silence qu’il prend pour un consentement… Oui, comme ça… Écarte les genoux… Oui… Ma queue est trempée de ta liqueur, elle ne te fera pas mal. Pour plus de précautions, je mouille avec ton jus le tour de ton joli trou du cul… Il est tout brillant. Pour l’assouplir, j’introduis le doigt… Tu sens ?
— Beuuh !
— Je pose le gland… Attention je vais pousser… Je ...

... pousse !
— Aaah !

Hubert stoppe l’introduction.

— Ça va ?
— Ou… Oui.
— Je pousse encore… Oui… J’y suis presque… Encore un peu… Ça y est !

Le ventre contre les fesses, il laisse Marie-Amélie s’habituer à la grosseur qui encombre ses entrailles. Au bout de quelques secondes, il se retire lentement.

— Ooooh !
— C’est jouissif, n’est-ce pas ?
— Oh ! Quelle sensation ! Aaah… Meuhh… Asshhh ! éructe-t-elle au rythme imposé par son cavalier.

Voyant que la jeune femme ne fait rien pour se dérober, Hubert amplifie les coups de queue. La carrosserie vacille sur les ressorts malmenés. Marie-Amélie résiste de son mieux. Son cul en feu irradie des ondes de plaisir dans tout le corps.

— Aaaahhouiiii ! gémit-elle quand Hubert, passant une main sous le ventre introduit un index dans le vagin délaissé.

L’émotion qui l’étreint est trop forte. La jeune femme s’effondre et c’est presque inconsciente qu’elle reçoit dans son cul les jets de sperme. Ils restent soudés l’un à l’autre de longues minutes. À la fin, Hubert se dégage et prend une serviette dans le panier. Il la trempe dans le ruisseau proche après s’être lavé la queue. Quand il revient à l’automobile, Marie-Amélie n’a pas bougé, le cul à l’air, la figure entre les coudes. Elle respire fortement. Un peu de sperme sourd de l’orifice encore dilaté et coule sur la cuisse. Hubert tamponne doucement avec la serviette humide. La fraîcheur de l’eau réveille la jeune femme.

— Ouii ! Merci, Hubert.

Elle parvient à ...