1. L'estropiée


    Datte: 16/06/2018, Catégories: fh, groscul, laid(e)s, Oral pénétratio, Auteur: Lochat, Source: Revebebe

    ... elle. S’en suit un long grognement de femelle en rut qui prend un pied d’enfer. Lorsque je me désembroche, elle me demande de suite de la lécher. Elle a encore envie de jouir, me dit-elle. Je viens entre ses cuisses et commence à la brouter. Elle se tord bientôt dans tous les sens, son clitoris hyper-sensible réagit au moindre coup de langue, elle souffle, elle gémit, elle hurle sa jouissance, elle est complètement partie, son corps est secoué de spasmes chauds…
    
    Ensuite nous nous déshabillons complètement et nous nous glissons sous les draps. Elle se colle à moi, elle se love contre moi, elle est heureuse, elle ronronne comme une chatte satisfaite en s’enfermant dans mes bras. Nous nous endormons très vite et c’est ainsi que je me réveille au petit matin, enchevêtré tout contre elle. Un rai de lumière éclaire son corps. Elle a beau être très laide, voire repoussante, avec son visage complètement cassé, elle n’en est pas moins femme et, curieusement, elle me donne envie d’elle. Ma bite calée entre ses grosses fesses se remet à bander et je ne peux m’empêcher de caresser sa poitrine. Son sein gauche porte une large estafilade, il est aussi plus petit, déformé, reconstitué. Je sais qu’elle a des bouts de métal un peu partout dans tout le corps. Elle est restée presque un an à l’hôpital à se faire charcuter de tous les côtés. Je ne sais pas pourquoi je pense à tout ça ; qu’est-ce qu’elle a dû souffrir, avec toutes ces opérations.
    
    Mes caresses la font bientôt se réveiller. ...
    ... Elle se retourne alors vers moi, un sourire qui ressemble plutôt à un rictus, à une grimace. Elle semble gênée que la voie ainsi en pleine lumière, mais, quand elle sent mon sexe raide entre ses cuisses, la chienne qui sommeille en elle renaît. Elle a, à nouveau, envie que je la baise. Elle refuse par contre le missionnaire et insiste pour que je la prenne plutôt en levrette, histoire que je ne voie pas son visage, m’avouera-t-elle par la suite. Mais cette fois je vois son cul, un cul rond et excitant d’une blancheur immaculée. Je bande à nouveau comme un malade et m’enfonce entre ces fesses merveilleusement charnues.
    
    Sur le coup de huit heures, nous rejoignons sa mère qui s’affaire dans la cuisine :
    
    — Alors les amoureux, ne peut s’empêcher de dire celle-ci, toute guillerette.
    
    Sa fille a fait tellement de bruit qu’elle a dû nous entendre. Aline va alors faire un gros câlin à sa mère. Les deux femmes restent ainsi enlacées un long moment, le corps d’Aline est secoué par des sanglots que j’interprète comme de la joie et je vois d’abondantes larmes couler le long de ses joues. Le spectacle est vraiment très touchant, j’ai l’impression d’être de trop dans cette scène filiale.
    
    — Merci, me dira Josiane un peu plus tard lorsque je me décide enfin à partir. Un très grand merci pour elle.
    
    Elle en a presque, elle aussi, les larmes aux yeux.
    
    Je repasse chez moi pour me changer, mais je ne sais pas ce qui me prend, juste avant de repartir au boulot, bien que je sois en ...