1. L'estropiée


    Datte: 16/06/2018, Catégories: fh, groscul, laid(e)s, Oral pénétratio, Auteur: Lochat, Source: Revebebe

    Récemment emménagé dans une nouvelle résidence, je me retrouve un soir dans le hall d’entrée avec cette vieille voisine qui est aux prises avec deux lourds packs d’eau. La femme en question doit avoir la soixantaine bien tassée, elle est plutôt petite avec un cul énorme. Je lui propose alors mes services et elle accepte avec plaisir, car depuis deux jours l’ascenseur est en panne (comme c’est d’ailleurs souvent le cas dans cet immeuble).
    
    Je monte donc la flotte jusqu’à chez elle et, là, Josiane, pour me remercier de ma diligence, me propose de boire l’apéritif. C’est alors que je fais connaissance avec sa curieuse fille, Aline, une femme qui a environ mon âge, c’est-à-dire la quarantaine. Au premier abord, cette dernière est vraiment effrayante. Elle est complètement défigurée et semble aussi avoir pas mal de problèmes pour se mouvoir. Elle est toute tordue de partout et son visage est grimaçant.
    
    — Ma fille a eu un très grave accident de voiture, explique alors Josiane devant mon regard interrogatif.
    
    Mon hôtesse m’explique alors que les deux femmes vivent seules depuis que son mari les a quittées, il n’a pas supporté que leur fille unique soit ainsi estropiée. Elle insiste pour que je reste à dîner avec elles et me laisse seul avec sa fille pendant qu’elle s’en va préparer le repas. J’essaie d’engager la conversation, mais quand Aline essaie de me répondre, j’avoue que je ne comprends pas tout ce qu’elle dit. Elle a de gros problèmes d’élocution, car sa ...
    ... prononciation est défaillante, un problème au palais me dira par la suite Josiane. Quand mon interlocutrice esquisse un sourire, parce que je lui raconte une blague, cela ressemble beaucoup plus à une grimace simiesque. La pauvre, ça ne doit pas être facile tous les jours de vivre ainsi avec une tête pareille. Je la plains de tout mon cœur, d’autant plus qu’elle semble intelligente et qu’elle doit se rendre parfaitement compte de son état. Je me demande si cela n’aurait pas été mieux pour elle de mourir dans cet accident.
    
    Le dîner est excellent et Josiane est très enjouée, visiblement heureuse d’avoir un peu de compagnie, ce qui la change du quotidien. Après le repas, j’insiste pour l’aider à faire la vaisselle et nous nous retrouvons seuls dans la cuisine.
    
    — Ma fille ne va pas bien du tout, me confie-t-elle. Elle aimerait sortir, voir des amis, avoir un petit copain… mais elle sent bien que ce n’est pas possible pour elle et dans sa tête ça ne va vraiment pas fort. Et puis ce n’est pas une vie de vivre toujours comme ça avec une vieille femme…
    — Vous êtes encore très jeune…
    — Vous êtes gentil, mais je vais bientôt fêter mes 66 ans. Et, en tout cas, je ne suis pas de sa génération… et puis je me demande ce qu’elle va devenir quand je ne serai plus là.
    — Ne pensez pas à des choses comme ça, vous avez encore de très longues et belles années devant vous.
    — Oui, mais quand même, il arrivera bien un jour. Je n’aime pas voir ma fille souffrir comme ça.
    — La douleur a dû être ...
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