L'estropiée - Histoires de Sexe

L'estropiée

... dégoût à son égard même si c’est un peu difficile parce que, confronté à l’inacceptable, l’on n’est jamais préparé à le voir. J’ai du mal à rester naturel, je devine qu’elle ressent mes appréhensions et ma faiblesse me rend malade.

Un peu plus tard, Josiane décide de prendre congé, elle nous dit qu’elle tombe de sommeil, qu’elle souhaite aller se coucher.

— Allez, bonne nuit, les jeunes.

Aline n’a pas vraiment l’air surprise de la voir partir. Elle éteint la télé et nous restons un long moment dans le silence le plus total. Assailli par le stress et la tension, je ne trouve plus les mots.

— Tu n’y es pas obligé, me dit-elle alors. Si tu n’en as pas envie, tu peux encore t’en aller. Il n’y a pas de problème, je ne t’en voudrai pas.

Comment les deux femmes ont-elles communiqué ? Comment Aline sait-elle que c’est dans la poche pour ce soir ? Personnellement je n’ai rien remarqué. Toujours est-il que la voici qui se lève, qui me prend par la main et m’entraîne doucement dans sa chambre. C’est très direct et très très clair. Nous y allons pour faire l’amour. Je la suis comme dans un rêve. Elle éteint la lumière ce qui plonge la pièce dans une saine obscurité, ce qui nous arrange bien tous les deux. Elle m’amène jusqu’à son lit et je sens de suite sa main qui farfouille dans ma braguette. C’est qu’elle en veut, la bougresse. Elle se glisse alors prestement entre mes cuisses et prend ma queue molle dans sa bouche. Son empressement a tôt fait de me revigorer. Elle ...

... sait ce qu’elle veut, elle se délecte avec ma queue, elle la lèche, elle la lape, elle la suce, elle l’embouche. J’entends ses grognements de satisfaction lorsqu’elle me pompe avec envie.

Ensuite, après s’être en partie déshabillée, elle vient sur moi, s’accroupit sur mon visage et frotte sa chatte contre ma bouche. Elle est toute trempée de mouille, j’ai rarement connu femme aussi juteuse. Au risque de m’étouffer, elle plaque son sexe contre moi et se frotte comme une damnée. Elle écarte ses chairs avec ses doigts et réclame ma langue en elle. Il faut voir comme elle se démène, à petits coups de reins.

— Baise-moi, baise-moi, baise-moi réclame-t-elle bientôt, telle une furie.

À l’écouter, il faudrait que je la prenne sur le champ, sans aucune protection. Mais je préfère prendre mes précautions. Je la bascule sur le lit, saisis la boîte de capotes et en enfile une sur mon sexe dur. Elle a pris la position, s’est mise à quatre pattes et tend vers moi son cul énorme pour que je la baise. Son cul est XXL, des fesses bien pleines et bien charnues qui se trémoussent d’envie dans mon attente. J’empale cette cochonne qui se met à gémir à chacun de mes coups de bite. Peu importe que sa mère soit dans la chambre d’à côté, elle s’exprime de la plus belle façon qui soit et m’incite à y aller plus fort. Vraiment, elle aime se faire baiser, sentir un mâle en elle, ça se voit, ça se sent et ça s’entend. Elle gémit tellement fort et j’en suis tellement excité que je viens bientôt en ...