Lisbonne sur Sumida
Datte: 26/01/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
couleurs,
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grossexe,
voyage,
pied,
pénétratio,
Humour
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... méditation lorsque nous entrons dans ce lieu de sérénité. Immobiles, ils ne réagissent pas à notre entrée. Loin de se laisser troubler par cette présence inattendue, ma femme déniche dans un coin de la salle un paravent qu’elle place entre l’autel et les bancs où les Asiatiques font leurs dévotions. Puis elle retire sensuellement les vêtements qu’elle avait choisis avec soin ce matin. Après s’être séparée d’un string particulièrement affolant, mon ardente se retourne et me laisse profiter de ses charmes avant de s’asseoir sur l’autel dans la position favorite de la déesse Kali. Les jambes largement écartées, la droite pendant vers le sol, la gauche repliée, le talon profondément niché entre ses cuisses, elle s’offre et se refuse en même temps, me forçant à l’inédit pour approcher son temple secret.
Je me déshabille à mon tour. Succombant à l’impudeur de sa pose, je me mets à bander à pleine ampleur. Elle avance son bassin à la rencontre de ma bite, tout en précisant à quel point elle a envie d’être baisée, ardemment, profondément, mes mains agrippées à ses hanches, la secouant dans tous les sens, jusqu’à ce que je ne puisse me retenir de juter.
Je n’attends pas la fin de sa tirade pour plonger en elle et fouiller son intimité comme je ne l’avais plus fait depuis longtemps. Grave erreur… D’une vive pression du pied sur mon bas-ventre, elle me repousse et casse mon élan.
— Ah non, pas comme ça ! J’ai l’impression d’être à la maison ! Fais-moi voyager…
J’accuse ...
... le coup, mais sa manière de me provoquer décuple ma fougue. Des barrières invisibles qui entravaient notre vie amoureuse tombent. Je m’empare de tout ce qu’elle m’offre, écartèle ce dont elle me fait cadeau. Les odeurs, les coulures, les saveurs, la sueur, la musique superbement incongrue de nos corps en rut nous rendent fous de désir. Au gré de nos élans, de nos esquives, de nos imbrications, je lui fais découvrir mon imposant Miradouro et visiter mon intrigant Alfama. Tout en décrivant dans les moindres détails les fantasmes peints sur mes azulejos intimes, je bouscule son Igreja Matriz de la pointe de ma queue.
Le souffle court, le regard chaviré, les seins gonflés, les pointes douloureusement raidies, ma femelle finit par s’allonger sur la table, la chatte suintante, en attente de la secousse finale.
Quelques coups de langue suffisent à la faire décoller. Je la laisse psalmodier un fado particulièrement obscène avant de plonger ma bite frémissante entre ses cuisses. J’adore sa manière de malaxer mes couilles pour me déjanter.
Pourtant, dès qu’elle sent les premières contractions dans mon périnée, elle me rejette hors d’elle, prétendant pour se faire pardonner qu’elle veut me sentir éjaculer, inonder sa vulve, détremper la raie de ses fesses. Il est trop tard pour lui résister. Enjouée, elle s’émerveille de chaque giclée qui m’échappe. Ainsi encouragé, je me vide sur sa touffe et à l’orée de son cul de tout ce qui s’était accumulé en moi au cours des dernières ...