1. En route vers l'Allemagne


    Datte: 11/06/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, cocus, inconnu, voyage, Partouze / Groupe Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... doute… Et alors ?
    — Ton top est blanc…
    — Oui, il est blanc, c’est évident… Et alors ?
    — On avait tous compris que tu ne portais rien en dessous, et c’était très agréable ! Mais là, nous en avons la confirmation ! Avec l’effet de lumière, c’est devenu carrément transparent !
    — QUOI !?
    
    Je rougis, croisant précipitamment mes bras sur ma poitrine. Ils s’esclaffent, même Charles, je le vois bien sur l’écran ! Pas un pour racheter l’autre ! C’est Heinrich qui s’avance :
    
    — Tu sais, on a déjà tout vu, ce n’est pas la peine de cacher ce qui est mignon !
    — Ben voyons ! Autant enlever mon top, pendant qu’on y est, non ?
    — Bonne idée !
    
    Aïe aïe aïe, qu’est-ce que je n’ai pas dit ! Maintenant, ils braillent tous en cœur :
    
    — Le top ! Le top !
    
    Même mon crétin de mari l’a écrit au moins dix fois sur l’écran ! Franchement, pas un pour racheter l’autre ! Et puis, merde ! Au point où j’en suis ! Me redressant, j’ôte prestement mon top que je balance à la figure d’Heinrich sous les rires des autres. Puis, poitrine nue, bien plantée sur mes jambes, mettant mes mains sur les hanches, je demande narquoise :
    
    — Alors, comme ça, messieurs, c’est mieux ?
    
    Un vaste murmure admiratif remplit la pièce. Ce sont quatre paires d’yeux qui me dévorent à présent, cinq avec ceux de mon chouchou à l’écran !
    
    — Nettement mieux ! Tu as vraiment de beaux seins ! Il aurait été dommage de nous les cacher plus longtemps ! (Heinrich)
    — Oh oui, ça serait dommage de les cacher ! (Gert)
    — Je ...
    ... suis d’accord ! (Stephan)
    — Moi aussi ! (Andreas)
    
    Je soupire :
    
    — Ça, je n’en doutais point !
    — Euh… Ariane…
    — Oui, Gert ?
    — Je peux… toucher ?
    
    Ah, l’ouverture est venue de celui dont je me méfiais le moins ! Tous les yeux sont braqués à nouveau sur moi, même ceux, virtuels, de mon mari. Je me tâte, je me demande s’il faut se laisser entraîner sur cette dangereuse pente. J’adresse un long regard à la webcam. La réponse arrive par écrit :Si tu en as envie, fais-le. C’est peut-être ta seule occasion. Le pire, c’est ce qu’un coin de ma tête pense aussi…
    
    Alors je m’entends répondre :
    
    — If you can !(en VO)
    — I do it !(toujours en VO)
    
    C’est une main délicate qui se pose sur mon sein, le frôlant, puis s’enhardissant de plus en plus, elle taquine un téton réceptif sous les yeux attentifs des autres hommes qui ne manquent pas de commenter ce que l’un d’entre eux ose me faire. Durant ce temps, indifférent aux autres, Gert caresse, câline, soupèse, avec une certaine tendresse, puis il se penche sur moi, vers ma poitrine, lèvres en avant, et demande :
    
    — Je peux, là aussi ?
    — If you wish… (en VO)
    
    Assurément, il peut, posant ses lèvres sur mon téton érigé. Ça m’électrise ! L’instant d’après, les autres hommes veulent aussi leur part de ma petite personne ! Je suis tellement surprise par cet assaut massif que je n’ai pas le temps de protester. Ce sont à présent quatre hommes voraces qui me palpent, me caressent, m’embrassent les seins, le dos, le ventre, les joues ...
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