1. En route vers l'Allemagne


    Datte: 11/06/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, cocus, inconnu, voyage, Partouze / Groupe Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... !
    
    Reprenant mes esprits, je repousse gentiment tout ce petit monde :
    
    — Stop, stop, stop ! Laissez-moi respirer !
    
    Ils s’écartent, me laissant souffler. Je récupère peu à peu, sous le regard brûlant de tous ces hommes. Je constate que certaines prunelles ne sont pas braquées sur ma poitrine, mais plus bas. C’est en baissant la tête que je constate que ma jupe est descendue à l’orée de mon pubis. Alors que j’esquisse un geste pour la remonter, Heinrich intervient :
    
    — Et si tu nous laissais t’admirer… complètement ?
    — Complètement ? Tu veux dire : complètement nue ?
    — C’est toi qui viens de le proposer…
    — Ben voyons…
    
    Je tergiverse, je me demande si je dois franchir le pas, bien que ça me tente énormément. C’est alors que j’ai une idée saugrenue. Regardant les hommes, droit dans les yeux, je souris :
    
    — OK, je baisse ma jupe si vous baissez tous votre pantalon ! Donnant-donnant !
    
    Il y a comme un flottement face à moi, je pense que j’ai trouvé une échappatoire ! Les hommes se consultent du regard, ils émettent quelques mots que je ne comprends pas, les secondes semblent des heures, puis à ma grande surprise, les quatre hommes accèdent à ma demande, révélant au grand jour quatre bâtons qui ne sont certainement pas au repos ! C’est avec un certain sourire qu’Heinrich me lance :
    
    — Donnant-donnant !
    
    Un petit déclic se fait en moi, je me lance dans la mêlée :
    
    — Donnant-donnant…
    
    Et j’abaisse lentement, aguicheusement ma jupe, révélant mon pubis, le ...
    ... haut de mes lèvres puis tout mon entrejambe. Quand d’un coup de pied, j’envoie promener ma jupe à travers la pièce, ils applaudissent spontanément !
    
    Je jette un petit coup d’œil à l’écran de l’ordinateur, mon mari est radieux, il attend visiblement la suite avec une impatience non dissimilée, tout comme les quatre loups qui sont face à ma petite personne ! C’est encore Heinrich qui déclare :
    
    — Tu es nettement mieux ainsi ! Permets-moi de te dire que… you are so beautiful !
    — Oui, Ariane, tu es très belle ainsi !
    — Tu es très désirable !
    
    Il n’y a que Gert qui n’ait rien dit du tout, trop occupé à me mâter, langue pendante ! Celui qui parle le moins en profite le plus visuellement ! C’est alors que j’ai compris que je venais de franchir une nouvelle porte sans avoir la possibilité de faire demi-tour…
    
    Quatre hommes, quatre bites ! Je n’ai que l’embarras du choix, de toutes les formes et tailles, presque un catalogue ! Agenouillée devant ces belles queues déjà raides, je m’amuse avec elles, serrant entre mes fins doigts ces fermes pieux de chair mis à ma disposition, câlinant ces peaux toutes douces, soupesant tige et boules, comme pour me faire une petite idée de leur puissance. Mes hommes sont aux anges, le mien aussi, si j’en juge sa figure sur l’écran, il n’en perd pas une miette !
    
    Puis je me décide à franchir le pont, j’offre une première sucette à Gert qui pousse aussitôt un intense soupir de satisfaction ! Après quelques léchouilles, c’est Heinrich qui me ...
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