Pascal et Léa - Histoires de Sexe

Pascal et Léa

... entre ses cuisses s’occuper de son abricot. Pascal prit la pose, à quatre pattes devant sa femme, et se pencha sur le joyau qu’il connaissait par cœur. Totalement épilé, parfumé délicieusement, il aimait jouer avec les deux anneaux qu’elle avait fait poser dernièrement sur ses lèvres. Il commençait son activité buccale lorsqu’il sentit les mains de Sylvia sur ses hanches, avant que l’une d’elles ne vienne guider son sexe à l’orée de son anus. Connaissant parfaitement la sensation d’un gland sur sa rondelle, il fut tout de même agréablement surpris de sentir la différence avec la réalité et lorsque Sylvia poussa pour l’enculer, il se détendit autant qu’il le put, pour qu’elle le pénètre facilement jusqu’à la garde, lui arrachant un léger gémissement de contentement. La conséquence fut d’amener Léa à son premier orgasme, imaginant aisément le cul de son mari dilaté par la queue de Sylvia. Mais elle voulait vraiment le voir et, se dégageant, elle demanda à Pascal de s’allonger sur la table basse en bois massif, les fesses bien au bord. Écartant et levant ses jambes qu’il tenait sous ses cuisses, il attendit que Sylvia vienne se placer entre elles et réintroduise son membre dans ses entrailles. Léa vint se placer au-dessus de cet embrochement et s’amusa à sucer tantôt Pascal, tantôt la queue de Sylvia qui la sortait du fourreau pour mieux le pénétrer par la suite. Le manège dura quelques minutes, entremêlé de gémissements et de crus monologues de la part de Léa, lorsque ...

... Sylvia, sentant son plaisir venir, se retira et branla sa queue dans la bouche de Léa jusqu’à décharger son plaisir à l’intérieur de celle-ci. Léa, se retourna alors vers Pascal et partagea le breuvage d’amour avec lui dans un profond baiser.

Les laissant s’embrasser amoureusement, Sylvia ne resta pas pour autant à ne rien faire car elle reprit les affaires en bouche, ou plus précisément le sexe de Pascal qu’elle suçait amoureusement pour lui redonner une réelle dimension nécessaire à assouvir son envie. Elle se plaça sur le fauteuil, à genoux, les seins posés sur le dossier et offrant ses fesses, elle dit à Pascal :

— Viens me baiser !

Ne voulant la décevoir, il humidifia sa tige par une bonne dose de salive et pointa son gland sur la rosette de Sylvia. Il fut étonné de se voir littéralement absorbé par son cul, apparemment habitué à ce genre d’exercice. Bien calé au fond de celui-ci, il la lima du mieux qu’il put, lui arrachant des râles de plaisir à des mots presque incompréhensibles, jusqu’au moment où, se sentant venir à son tour, il profita de la bouche gourmande de Léa pour lui donner sa deuxième ration de la journée. Comme elle avait fait avec lui, elle vint l’offrir à Sylvia qui la partagea avec le plus grand appétit.

Pascal n’était toujours pas remis de la surprise que Léa lui avait faite et il l’imaginait lorsqu’elle devait subir les assauts charnels de Sylvia. Il se dit aussi que cela s’avérait en fait très excitant et qu’en aucun cas il considérait cette ...