Pascal et Léa - Histoires de Sexe

Pascal et Léa

... la nature des dessous qu’elle portait et se réjouissant des courbes parfaites que laissait entrevoir cette robe des plus sexy. Lorsqu’elle les devança pour les accompagner dans le salon, son regard se figea sur ses fesses qui se déplaçaient érotiquement à l’allure des ses pas, avant d’apercevoir le haut de ses bas que la longueur de sa robe ne pouvait dissimuler. Cette adorable vision lui déclencha un agréable frisson dans le creux des reins et il sentit aussitôt son sexe frémir et se serrer dans le petit string de dentelle que Léa lui avait demandé de revêtir, en lui ajoutant avec un charmant sourire qui en disait long sur ses intentions :

— Et si tu te débrouilles bien, ou pourra peut être faire un trio lesbien.

En effet, Pascal, non seulement s’avérait être un amant expert pour amener son épouse au 7e ciel, mais en plus, il se prêtait souvent aux petits jeux proposés par Léa qui, après l’avoir totalement féminisé, travesti et maquillé, en faisait sa petite salope soumise et le sodomisait vigoureusement avec un gode ceinture spécialement prévu à cet effet.

Sylvia leur proposa de s’installer sur le canapé, remarquant au passage les bas noirs que Léa dévoilait par la longue fente savamment placée sur sa robe mi courte. Une petite veste de daim sur un corset rouge vif complétait sa tenue alors que Pascal semblait à l’aise dans son ensemble de lin clair sur un tee-shirt blanc, lui laissant même le loisir de deviner que Léa ne lui avait pas menti sur son anatomie ...

... cachée. Elle s’absenta quelques secondes le temps d’aller chercher le plateau qu’elle avait préparé en cuisine et, à son retour, elle surprit la main de Léa délicatement posée sur l’entrejambe de son conjoint.

— Je vérifie juste si tu lui fais de l’effet, s’empressa t’elle de dire lorsqu’elle l’aperçut, avant de rajouter : et ça à l’air d’être le cas !

Son regard était d’un air si coquin que Sylvia eut envie de se jeter sur elle et de l’embrasser derechef. Mais étant d’une éducation sans faille, elle reprit son rôle de maîtresse de maison et servit les coupes d’un champagne d’excellent choix. Lorsqu’elle se penchait pour servir ses invités, les fines bretelles de sa robe n’étant pas assez serrées pour ne pas proposer une vue profonde et excitante sur sa jolie poitrine, elle sentit les regards du couple s’y engouffrer au plus vite.

— Hum, la corbeille de fruits accompagnant la boisson a l’air des plus appétissantes, s’exclama Léa qui ne perdait pas une miette du spectacle proposé.
— Et je pense qu’ils sont totalement comestibles répondit Sylvia qui, une fois la bouteille posée, se laissa aller dans le profond fauteuil avec sa coupe en main, prenant soin de croiser élégamment ses jambes tout en offrant une vision furtive de son string aux deux paires d’yeux totalement pris par le spectacle.
— Et bien, trinquons à notre rencontre, lança-t-elle tout en ne quittant pas un instant les yeux clairs de Pascal qui se sentait de plus en plus à l’étroit dans sa dentelle tendue.
— À ...