Pascal et Léa - Histoires de Sexe

Pascal et Léa

... un peu plus grave que d’autres femmes, mais il trouvait cela tellement sensuel que cela ne l’avait pas le moins du monde choqué. Non, rien dans cette créature ne pouvait laisser croire qu’il s’agissait d’un ancien garçon.

— Bon alors, tu te décoinces soupira Léa qui le regardait réfléchir sans bouger.
— Allez, pousse-toi, je vais te montrer.

Et s’agenouillant devant Sylvia, elle posa sa bouche sur le tissu et commença à embrasser son sexe. Celui-ci réagit très vite et une forte érection contraignit le string tant et si bien qu’elle l’écarta pour faire surgir cette jolie pine sous ses yeux. Sylvia appréciait délicieusement ce moment où la découverte de son sexe impliquait forcément un sentiment d’étonnement, de frustration ou d’injustice pour son partenaire et, appréciant enfin la langue de Léa sur la longueur de sa tige, elle regarda Pascal qui ne pouvait détacher son regard de ce sexe bandé, appendice anormalement dressé sur le corps de cette femme si désirable, surplombé d’une toute petite touffe de poil ornant un pubis pour le reste totalement épilé, s’allongeant sous les coups de langue de sa femme. Elle passa la main dans ses cheveux, captant enfin son regard, elle l’attira vers elle pour partager un baiser sensuel.

— Tu me fais bander, lui dit-elle à l’oreille, donne-moi ta queue.

Il se mit debout à ses côtés, son sexe au niveau de sa figure et Sylvia, d’une main experte, l’extirpa de son écrin de dentelle. La réaction l’avait sérieusement entamé mais, ...

... très vite, sa bouche experte lui rendit une raideur digne de sa virilité. Ainsi, les deux queues du trio se trouvaient-elles prises en bouche, chacune s’employant à y donner un maximum de plaisir et de douceur. Voulant faire durer le plaisir de sa partenaire, Léa décida de laisser son sexe pour venir se placer derrière son mari et commença à lui caresser les fesses fendues par le petit bandeau de dentelle. Bien vite ses doigts le longèrent pour venir insister un peu plus précisément au niveau de la rosette de son mari qu’elle entreprit de masser tout doucement. Se laissant glisser le long de son dos, elle se trouva face aux globes charnus de Pascal, déposa un baiser sur chacun d’eux, les écarta, glissa son doigt entre sa peau et le tissu et pointa sa langue sur l’œillet brun pour entamer une feuille de rose dont elle avait le secret et qu’elle savait particulièrement perverse. Pascal était aux anges, une jolie femme le suçait, la sienne lui léchait le cul, il se sentait doucement monter lorsqu’un doigt inquisiteur vint lui faire ressentir les prémices de l’orgasme. Sylvia s’en rendit compte et relâcha son étreinte buccale, caressant les couilles de son partenaire alors que Léa lui branlait doucement le boyau. Elle se leva et contourna le couple, la queue bien bandée par les faveurs précédentes de Léa qui, comprenant son désir, laissa à regret le petit cul de son mari. Elle ôta son petit string détrempé et prit la place de Sylvia sur le fauteuil avant d’inviter Pascal à venir ...