Pascal et Léa - Histoires de Sexe

Pascal et Léa

... expérience comme homosexuelle, chose à laquelle il ne se sentait pas encore prêt. Voir, embrasser, caresser, sodomiser cette charmante femme/homme ne lui avait causé aucune réticence, bien au contraire, il n’en avait ressenti que du plaisir, surtout lorsqu’il l’eut profondément en lui. Sylvia se releva et uniquement vêtue de son porte-jarretelles au milieu duquel pendait sa petite bite somme toute amusante, resservit une coupe de champagne à chacun et leur tendit :

— À la nôtre, et à cette bonne partie de jambes en l’air… qui ne fait que commencer !

Elle but une gorgée et s’absenta du salon quelques instants, certainement pour satisfaire une envie pressante, s’imaginèrent les deux tourtereaux. Cela ne les empêcha pas de s’embrasser de nouveau tendrement, appréciant à sa juste valeur l’instant qu’ils venaient de vivre.

— Alors ? Interrogea Léa que penses-tu de ma copine ?
— Surprenante ! lui sourit Pascal.
— Et ce n’est pas fini, je la connais, la garce, dit-elle tout en replongeant entre ses cuisses pour gober aussitôt le sexe débandé de Pascal.

Lorsqu’elle réapparut dans le salon, Sylvia vit en premier la croupe de Léa, bien occupée à pomper le pieu de son mari et en profita pour déposer le gode ceinture qu’elle était allé chercher dans sa chambre sur le fauteuil. Pascal, les yeux clos, appréciant les bienfaits de l’activité de son épouse, ne l’avait toujours pas vue. C’est alors qu’il sentit sa présence juste devant lui. Assis par terre le dos contre le ...

... canapé, elle l’avait enjambé et se trouvait face à lui, le sexe à la hauteur de la bouche. Il ouvrit les yeux. D’abord surpris, il regarda Sylvia qui lui souriait malicieusement, et prit la petite pine dans sa main, l’amena vers sa bouche et y passa sa langue sur le bout du gland. Il s’enhardit rapidement dans ses caresses jusqu’au moment où il l’engloutit et commença une fellation dans les règles de l’art. Il embouchait le sexe, enroulait sa langue autour et rapidement, porta ses mains sur les fesses de sa partenaire et commença à les malaxer. Bientôt, il se fit plus indiscret lorsqu’il écarta les globes et avança un doigt curieux vers la rosette qui l’avait si bien accueilli auparavant. Léa, gardant la bite bien raide de Pascal dans la main, regardant par en dessous son mari exécuter sa première pipe et elle y prenait autant de plaisir, se projetant déjà dans un futur où elle verrait bien entre lui et elle un autre homme.

Sylvia, une érection retrouvée entre les jambes, caressait les cheveux tout en appréciant les faveurs de Pascal. Elle sentait son membre aller et venir dans cette bouche masculine au demeurant forte agréable tandis que deux doigts fins et longs lui rappelaient combien elle aimait se faire pénétrer. Mais, ayant une autre idée en tête, elle se retira de l’écrin humide et chaud qui l’enveloppait et pria Pascal de s’allonger à même le doux tapis.

— Allonge-toi que ta chérie vienne s’empaler sur ton pieu. Elle n’a pas encore eu sa dose et tu sais aussi bien que ...