Pascal et Léa - Histoires de Sexe

Pascal et Léa

... son mari :

— Allez, le pantalon, montre-nous ce que tu caches là-dessous.

Le teint légèrement rosé, Pascal déboutonna son pantalon. Même si c’était la première fois qu’il apparaissait dans cette tenue devant une autre personne, il n’hésita à aucun moment à le descendre doucement sur ses chevilles, offrant la vision de sa queue bandée débordant, par le haut, du string qu’il portait.

— Oh mais c’est charmant ! s’exclama Sylvia sur un ton étonné. Dis-moi, il porte tout le temps tes petites culottes ? En tout cas, je trouve cela très mignon et j’avoue que cela m’excite beaucoup.

Elle attira alors Léa vers elle et l’embrassa à pleine bouche. Mêlant leur langues, les deux filles s’offraient avec passion alors que Pascal, pris sous le charme et respectueux de leur baiser, les regardait sans savoir quoi faire.

— Mon chéri, viens goûter ces jolis fruits bien mûrs ! lui dit Léa.

Délivré de son désir uniquement visuel, Pascal s’approcha des deux filles et s’agenouillant à côté du fauteuil, se mit à embrasser et téter les deux seins de Sylvia qui appréciait énormément le traitement infligé. Léa le regardait faire en lui caressant les cheveux et en souriant à Sylvia. Sa main quitta son compagnon pour descendre sur le ventre et le long de la cuisse de sa maîtresse qu’elle caressa quelques instants à travers le bas. Elle remonta doucement à l’intérieur de sa cuisse pour aller poser sa main à la jonction des deux, sur le sexe de Sylvia, provoquant un petit sursaut de ...

... surprise de celle-ci. Laissant sa main immobile quelques secondes, elle remonta croiser son regard et, lui faisant un clin d’œil, elle s’adressa à Pascal :

— Tu sais mon chéri, Sylvia adore aussi lorsque l’on s’occupe de son sexe !

Il leva les yeux, regarda son épouse avec un sourire coquin et entreprit de suivre le corps de son amante avec sa bouche, embrassant à travers la fine mousseline son ventre, ses hanches, suivant les jarretelles, il arriva sur sa cuisse. Il remonta alors sa main en direction de la fontaine qu’il s’attendait à trouver et lorsqu’il toucha le tissu du string de Sylvia, il s’interrompit immédiatement et se releva l’air hagard et interrogatif. Son regard ne fit que croiser le sourire de deux jeunes femmes en attente de plaisir.

— Surpris ? Déçu ? Content ? Interrogea Léa.
— Moi, j’adore, ajouta-t-elle, je trouve cela très excitant !

Pascal venait tout simplement de découvrir la bite de Sylvia. Transsexuelle, telle était sa condition et, pleinement, elle l’assumait.

La surprise passée, la main toujours posée sur cette queue qui frétillait sous le fin tissu du string, Pascal regardait benoîtement les deux femmes, se demandant encore comment il avait pu se faire piéger. Jamais, à aucun moment, il n’aurait pu se douter de cette situation. Sûr d’avoir à faire à une femme chaude et sensuelle comme il les aimait, il dut se résoudre à l’évidence que sa trouvaille ne pouvait être vérifiée préalablement. Certes, Sylvia avait peut être un timbre de voix ...