1. La prison


    Datte: 04/06/2018, Catégories: fh, frousses, grosseins, Transexuels pénétratio, sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... de l’ordre. À tel point que sa maîtresse, qui l’avait d’abord tancée et sermonnée quant à sa conduite avec moi et à sa réaction démesurée face à mon emprisonnement, avait fini par se laisser presque émouvoir par le chagrin et la tristesse qu’elle ne parvenait pas à chasser. Et c’était elle qui avait finalement proposé de me « louer » pour une soirée.
    
    Mais Alys prit une voix affectée pour m’expliquer ce qu’allait être cette soirée. Son chagrin n’était finalement qu’un prétexte, ou du moins l’élément déclencheur. Heline me voulait surtout pour elle et pour ses amies ; j’allais servir toute une nuit durant de jouet sexuel pour combler quelques dames de la haute en mal de sensations fortes et prêtes à baiser avec un dégénéré.
    
    — Tu seras là ? demandai-je à ma superbe rouquine.
    
    Elle acquiesça.
    
    — Alors je m’en fous ! Tant pis pour le reste, si je suis près de toi.
    
    C’était vrai ! J’étais en train de tomber fou amoureux d’elle. Et puis, bon… baiser deux trois vieilles en mal de cul, ça ne serait sans doute pas si terrible.
    
    — Tu ne sais pas ce dont elles sont capables, rétorqua Alys, inquiétante. J’ai déjà assisté à leurs orgies, c’est affreux !
    
    Je me remémorai soudain que ...
    ... toutes ces femmes étaient hermaphrodites et commençai à évoquer tout ce dont elles seraient capables. Mais je me forçai à cesser de laisser travailler ainsi mon imagination, et embrassai chaleureusement la jolie servante, dégénérée comme moi.
    
    — Je suis là jusqu’à demain midi, profitons de chaque moment jusque-là !
    — Oui, mais après ?
    — Après, nous verrons bien.
    
    Je m’efforçai de paraître optimiste pour compenser les craintes (certainement fondées) de ma compagne. Et je commençai sans lui en parler à réfléchir à un plan pour m’enfuir avec elle. Et cette fois-ci pour de bon. Dans la nuit, peut-être, quand tout le monde dormirait. Alys avait les clés et les codes de l’appartement ; elle connaissait la ville. Avec un peu plus de chance que la fois précédente, nous pourrions peut-être éviter toute rencontre. Et d’après Kalmin, mon compagnon de cellule, nous pourrions peut-être trouver refuge dans les souterrains de certains quartiers de la cité.
    
    Tout cela faisait beaucoup de « peut-être », évidemment, mais tout était mieux que de retourner croupir en prison à attendre la prochaine fois que Dame Heline faiblirait et se laisserait attendrir. Et tout était mieux que de quitter Alys… 
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