1. La prison


    Datte: 04/06/2018, Catégories: fh, frousses, grosseins, Transexuels pénétratio, sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... son immense appartement.
    — Oh, merci ! Merci, Madame !
    
    Alys se précipita vers moi et me prit dans ses bras, m’étouffant de baisers.
    
    — Voici la clé de ses menottes, et celle de sa chaîne. Je te le laisse une heure. Ensuite, il sera à moi pour la soirée…
    
    Je la dévisageai avec inquiétude, mais elle ne me lança toujours pas le moindre regard, et s’éloigna vers une pièce voisine, tandis que sa servante ôtait la lanière qui ceignait mon cou et déverrouillait la chaîne et les bracelets métalliques qui me retenaient prisonnier. Dès que je fus libre, je la serrai contre moi, heureux de la retrouver, tout autant que d’entrevoir une issue possible à ma détention en prison. La merveilleuse rouquine m’emmena à l’étage, et me guida jusqu’à une chambre que je devinais être la sienne. Elle ferma la porte et me jeta en arrière sur le lit, puis se déshabilla en quelques gestes et se précipita sur moi pour m’enjamber.
    
    — Hmmm ! Tu sens bon, susurra-t-elle en frottant de façon suggestive son entrejambe contre la bosse qui déformait déjà mon jean.
    
    Plaquant une main sur sa longue chevelure ondulée, je l’attirai contre moi pour unir nos lèvres, et crispai mon autre main entre ses fesses chaudes. Ses seins gonflés rebondis s’écrasaient contre mon torse, m’excitant davantage si c’était possible.
    
    Elle se redressa un instant pour presque arracher tous mes vêtements, et lorsque nous fûmes nus tous les deux, nos deux corps brûlants et surexcités l’un sur l’autre, elle se frotta encore ...
    ... contre moi, jusqu’à n’en plus pouvoir et suffoquer de désir. Et je finis par la faire pivoter sur sa couche et, allongé contre elle, mes jambes entre les siennes, m’enfonçai en elle d’un puissant coup de bassin tandis que sa voix chaude lançait une longue plainte de plaisir.
    
    ***
    
    Alys et moi, lascifs, charnels, voluptueux, avions longuement fait l’amour, avant de nous allonger, épuisés, côte à côte, soupirant d’extase et du plaisir de nous retrouver après les événements de l’avant-veille. Elle se tourna et se serra contre moi, posant sa tête sur mon épaule, pour me raconter en chuchotant ce qui s’était passé suite à notre altercation avec les trois jeunes qui nous avaient agressés.
    
    Lorsque j’avais voulu intervenir pour empêcher les surveillantes de s’en prendre à ma belle Alys, j’avais été tout bonnement assommé et menotté ; mon cas était réglé du moment où elles avaient constaté que j’étais un dégénéré : ma présence en ville était interdite. Nos deux assaillantes encore sur les lieux furent soignées et laissées libres, sans remarque particulière ; peu importait qu’elles eussent menacé de violer ma compagne. Celle-ci, également dégénérée, fut reconduite jusqu’à cet appartement, où Dame Heline avait confirmé aux surveillantes qu’elle était sa servante et qu’elle répondait d’elle.
    
    Puis elle avait passé la journée suivante à se morfondre, à s’en vouloir de m’avoir conduit là-bas, à s’agacer contre l’injustice des lois de la ville et la partialité inique des gardiennes ...