1. La prison


    Datte: 04/06/2018, Catégories: fh, frousses, grosseins, Transexuels pénétratio, sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... des murs, et au centre de la pièce, au sol, une large bonde d’évacuation. Je devais me trouver dans une grande salle de bains.
    
    — Allez, à poil ! Tu es sourd ou quoi ?
    
    J’ouvris le verrou et défis la chaîne avant d’ôter mon jean et mon tee-shirt.
    
    — À poil ! Complètement ! Et tu poses tes vêtements dans le sas.
    
    Tournant les yeux, j’aperçus dans un coin de la salle une petite niche également carrelée, que je n’avais pas remarquée. Je retirai encore mon caleçon, et allai tout y déposer.
    
    — Tu reviens au centre, maintenant, et tu ne bouges plus.
    
    J’obtempérai. Et une trentaine de puissants jets d’eau furent déclenchés simultanément tout autour de la pièce, dirigés vers moi. L’eau était froide, et la pression énorme ; j’en recevais partout, de la tête aux pieds ; c’était douloureux. Je me tournai pour essayer d’éviter ceux qui frappaient mon visage, mon ventre ou mon entrejambe, mais d’autres semblaient les remplacer, et je n’avais pas assez de mes deux mains pour protéger tout mon corps. J’avais du mal à respirer tant l’eau était partout. Je me recroquevillai, agenouillé, mais ce fut presque pire, et je finis par me jeter de côté, pour échapper aux jets, qui s’arrêtèrent aussitôt.
    
    — Au centre !
    
    Me redressant, je me frottai les yeux, cherchant un instant une utopique échappatoire. Je grelottais.
    
    — Au centre, vite !
    
    Je revins me positionner au-dessus de la bonde, crispé, prêt à recevoir de nouveau les jets infernaux. Mais ce fut un liquide visqueux qui ...
    ... me tomba soudain sur la tête et sur les épaules, accompagné d’un parfum agréable. Du savon.
    
    — Frotte ! Fort ! Partout !
    
    Je m’exécutai, me lavant avec plaisir, nettoyant chaque recoin de mon corps, effaçant les odeurs et la crasse que j’avais accumulées depuis que j’étais entré dans cette horrible prison. Mais les pénibles jets d’eau à haute pression se déclenchèrent soudain de nouveau, et je luttai pour ne pas suffoquer en me rinçant. Ils furent assez vite remplacés par des jets d’air propulsés sur moi avec une pression plus forte encore, sans doute dans le but de me sécher. Si je n’avais plus la moindre difficulté à respirer, la douleur devenait, elle, franchement insupportable. Heureusement, cela cessa bientôt, et, parfaitement propre et globalement sec, je pus aller reprendre mes vêtements. Je ne m’en étais pas rendu compte pendant mon « lessivage », mais ils avaient disparu, et réapparurent juste à l’instant où je voulus m’en approcher. Ils étaient très chauds et soigneusement pliés, et sentaient bon ; sans doute avaient-ils aussi subi un lavage rapide, ou un nettoyage à sec.
    
    — Rhabille-toi, et remets la chaîne !
    
    Elles ne m’ouvrirent la porte que lorsque j’eus refermé le lourd verrou autour de mes chevilles.
    
    — Il donne presque envie, comme ça, le dégénéré, tu ne trouves pas ?
    — Je le préférais à poil… mais c’est vrai que pour un dégénéré…
    — Pense à ces filles de la haute qui vont jouer avec lui…
    — Ouais, et cette aristo, tout à l’heure, tu as vu ? À nous ...
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