1. La prison


    Datte: 04/06/2018, Catégories: fh, frousses, grosseins, Transexuels pénétratio, sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... montrer ses seins, comme ça…
    — Elle m’a bien excitée, cette petite ! Et maintenant, celui-ci… Je crois que je me le…
    — Non, pas touche ! Sinon, adieu le fric.
    — N’empêche, être prête à payer autant juste pour ce minable, ça craint !
    — Allez, amène-toi, le dégénéré ! On t’emmène !
    
    ***
    
    Je reconnus sans peine l’immeuble dans lequel me conduisirent les trois surveillantes qui m’avaient escorté sous chaîne et menottes à travers les ruelles de la ville. Dans le hall, l’une de mes gardiennes appuya sur une sonnette et une voix retentit soudain :
    
    — Oui ?
    — Unité de surveillance de la prison de Tal-Mania, nous venons pour une liv…
    — Vous êtes en retard ! Vingt-septième étage, je vous attendrai.
    
    Elles m’entraînèrent jusqu’à l’ascenseur.
    
    — Hmmm… pas commode, l’aristo…
    — Ouais, sont bien toutes les mêmes.
    — Pourtant tu l’aurais vue, tout à l’heure, quand elle nous a montré son médaillon…
    — Eh bien, qu’est-ce qu’elle avait ?
    — Bah attends, tu vas voir…
    
    Mais ce n’était pas Alys qui nous attendait devant l’ascenseur, mais la véritable Heline de Gofarn, le visage fermé d’un air sévère, et une étrange lanière à la main. Deux des surveillantes s’agitèrent en l’apercevant et l’une leva son arme.
    
    — Qui êtes-vous ?
    — Dame Heline de Gofarn. Voici mon médaillon, vous pouvez vérifier.
    — Quoi ? Mais…
    — C’est ma servante que vous avez vue tout à l’heure. Il est hors de question que je mette les pieds dans une prison pour dégénérés. Suivez-moi.
    
    Les surveillantes ...
    ... maugréèrent à voix basse en emboîtant son pas jusqu’à l’entrée de son appartement.
    
    — Mais qu’est-ce que tu as foutu avec l’autre ? Tu aurais dû vérifier !
    — Ben j’ai fait comme toi, j’ai regardé ses seins !
    — On va se faire engueuler, c’est sûr !
    — Ben vérifie au moins celle-ci, maintenant.
    — Voilà, c’est ici, trancha Heline, sans toujours le moindre regard pour moi.
    
    L’une des gardiennes sortit un répertoire qu’elle consulta rapidement.
    
    — Vous permettez que l’on vérifie votre identité, madame ?
    — Je vous en prie, faites… soupira la maîtresse des lieux avec un agacement non dissimulé.
    
    Et après des vérifications de taille, de couleur d’yeux, de forme du visage, d’empreinte du tatouage qu’elles appelaient médaillon, je fus abandonné pour quelque temps :
    
    — Le prisonnier est à vous, Madame.
    — Merci.
    — Attention, il est dangereux. Vous êtes sûre que ça va aller ?
    — Nous avons prévu ce qu’il faut pour le faire obéir.
    
    Elle passa autour de ma tête un nœud coulant de la lanière qu’elle tenait, et le serra fort ; et je me pris soudain une décharge électrique qui m’arracha un cri de douleur. J’aperçus, au bout de la laisse noire, un petit boîtier que la femme avait gardé en main.
    
    — Très bien, voici les clés de ses liens. À quelle heure devons-nous revenir le chercher ?
    — Demain à midi.
    — Comme vous voudrez.
    — Parfait, à demain.
    
    ***
    
    — Tiens, le voilà, ton dégénéré ! jeta négligemment Dame Heline en me poussant vivement dans la grande salle principale de ...