1. La prison


    Datte: 04/06/2018, Catégories: fh, frousses, grosseins, Transexuels pénétratio, sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... gardiennes ouvrirent bientôt une petite porte et me poussèrent à l’intérieur. Je m’écrasai lamentablement sur le sol de la pièce, mais mon cœur s’allégea soudain lorsque j’aperçus Alys, de l’autre côté d’une cloison percée d’une large vitre rectangulaire, debout entre deux surveillantes.
    
    — C’est bien celui-là ? demanda l’une d’elles.
    
    Je me redressai péniblement en lançant des yeux suppliants à la jolie rouquine au regard inquiet.
    
    — Oui, c’est lui ! s’exclama-t-elle.
    — Hmm… il est dangereux, selon sa fiche. Il a agressé plusieurs femmes et a usurpé…
    
    La gardienne s’interrompit, avant de relever la tête vers sa belle interlocutrice :
    
    — Et il a usurpé votre identité, madame de Gofarn. Qu’est-ce que vous voulez en faire ?
    
    Ouch ! Alys se faisait passer pour sa maîtresse Heline…
    
    — On va s’amuser un peu pour la soirée, marmonna-t-elle en se forçant à prendre un air machiavélique. On va lui faire regretter d’être venu au monde…
    — Ha ha ha ! Comme je vous comprends ! Et d’ailleurs, il n’est pas si mal pour un dégénéré !
    — Puis-je voir votre médaillon, je vous prie, Madame de Gofarn, demanda l’autre gardienne.
    — Oui, tenez, voilà.
    
    Alys écarta les pans de sa tunique et ouvrit puis abaissa franchement sa robe, se dévoilant à demi devant les surveillantes interloquées ; une fois torse presque nu, elle se tourna pour désigner un tatouage ovale qu’elle arborait sur le bras gauche. J’aurais pu jurer qu’elle n’avait pas ce tatouage quelques jours plus tôt ; mais je ...
    ... me souvenais de Dame Heline, portant une marque semblable. Les gardiennes y jetèrent un œil rapide, mais même de là où j’étais, je parvenais à voir qu’elles étaient surtout obnubilées par les seins lourds de la sculpturale rouquine.
    
    — Hem… merci. Vous pouvez vous rhabiller. Nous allons passer au test biométrique.
    — Je n’ai pas le temps pour ces sottises. Voici l’acompte prévu, continua Alys sans se revêtir mais en ramassant apparemment un pesant sac qu’elle tendit à l’une des surveillantes pendant que l’autre lorgnait toujours sa poitrine. À quelle heure pouvez-vous nous l’amener ?
    — Comme vous voudrez.
    — Alors vers 17 heures, s’il vous plaît.
    
    Elle se rhabilla finalement et tourna les talons sans le moindre regard supplémentaire à mon intention. Elle jouait bien son rôle, au moins. Les surveillantes qui l’escortaient sortirent avec elle, puis entrèrent une ou deux minutes après de mon côté de la pièce.
    
    — Tu as entendu, dégénéré ? Tu vas aller servir de jouet sexuel à ces dames de la haute. C’est un honneur pour toi.
    — Amène-toi, il faut qu’on te prépare.
    
    Je les suivis sans un mot jusqu’à une petite pièce carrelée où, après avoir déverrouillé la chaîne qui me ceignait les chevilles, elles m’enfermèrent derrière une porte hermétique vitrée d’une fenêtre ovale. La voix de l’une des gardiennes résonna autour de moi, alors que je voyais l’autre m’observer à travers le hublot.
    
    — Déshabille-toi !
    
    Tout autour de moi, plusieurs petits trous se devinaient le long ...
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