Les plaisirs d'Élodie - Histoires de Sexe

Les plaisirs d'Élodie

... j’aurai une petite pensée pour toi en élaborant les prochains scénarios.
— Je ne t’en demande pas tant ! Tu as conservé les épis de maïs ?
— Non, mais on peu vite les remplacer.
— Garde ça pour ton amant. Tu as des regrets ?
— Aucun. Je ne savais pas ce que j’allais découvrir en partant ; je n’ai pas été déçue. Je me suis découverte. J’aime l’exhibition, et encore plus la soumission. Il peut me demander ce qu’il veut, rien ne me rebute. J’ai déjà envie de recommencer. Maintenant que j’ai découvert ces plaisirs, j’aurais du mal à m’en passer.
— Tu me fais peur… Comment peut-on changer à ce point ?
— Je n’ai pas changé ; c’était là, bien enfoui au fond de moi. Je ne t’en ai jamais parlé, mais j’ai toujours eu des pensées, des envies qui ne te correspondaient pas. Ça n’enlève rien aux sentiments que j’éprouve pour toi. Lui, c’est pour le sexe ; je serais incapable de faire avec toi ce que je fais avec lui.
— C’est pour ça que je t’ai vue plusieurs fois lui dire que tu l’aimais !
— J’ai toujours dit ça à mes amants après qu’ils m’aient donné du plaisir, rappelle-toi.
— À Saïd aussi tu lui as dit que tu l’aimais ? Je te trouve un rien s…
— C’est bien toi qui as dit un jour : « Toutes des salopes ; sauf ma compagne, malheureusement. » C’était dit sur le ton de la plaisanterie, mais je me suis toujours demandé si tu le pensais vraiment.
— Là, tu m’embarrasses ; oui, j’ai souhaité te voir exhibitionniste, te montrer à mes amis, leur dire : « Regardez comme elle est belle, ...

... et elle est avec moi. » Je t’aurais aimée plus chaude, mais je n’ai jamais envisagé aller aussi loin.
— Pour toi, que je sois salope, c’est comme tu veux, quand tu veux, comme tu le conçois, juste pour ton plaisir, quoi. Et moi, mon plaisir ?
— S’il te plaît, on en reste là sinon on va se prendre la tête. En attendant, où vas-tu aller ?
— Je pensais revenir ici. Tu ne me laisserais pas à la rue ?
— Tu ne manques pas d’air… Je veux bien t’héberger le temps que tu te trouves quelque chose ; tu peux prendre la chambre d’amis. Je te laisse une semaine pour te retourner.
— Merci, je n’en espérais pas tant.
— Ça va, maintenant ? Tu as fait le tour de tes fantasmes ?
— Euh… pas tout à fait ; il m’en reste plein. Il y en a un qui me tient particulièrement à cœur : j’aimerais que tu me regardes faire l’amour avec un autre.

Elle ne s’arrête jamais ; avec elle, je vais de surprise en surprise !

— Tu ne doutes de rien… Pour ça, il faudrait que notre couple dure.
— Je ne désespère pas et je ne renonce jamais. Je sais trouver les arguments qu’il faut. Tu devrais commencer à me connaître.
— J’ai remarqué que vous baisiez sans préservatifs ; j’espère que vous saviez ce que vous faisiez.
— Ne t’inquiète pas, nous avons tous fait un test avant. Sauf Saïd, c’était sa première fois.
— Tu t’es tapé un jeune de 18 ans puceau. Tu n’as pas honte ?
— Même pas ; c’était tellement bon… Tu as vu ce corps, comme il est beau ? Je n’ai pas pu résister. Tu me trouves perverse ?
— Un rien, ...