Les plaisirs d'Élodie - Histoires de Sexe

Les plaisirs d'Élodie

... charmante jeune femme vient la nettoyer avec une lingette et en profite pour lui faire un bécot. Encore une nouveauté : j’ai l’impression d’avoir passé deux ans avec une inconnue. Le numéro n’a pas duré vingt minutes ; elle doit être insatisfaite, connaissant son appétit. Ils ont droit à une standing-ovation qui dure quelques minutes. Je pensais le film terminé quand tout à coup "Serze" s’adresse au public et demande :

— Est-ce que dans l’assistance un ou deux hommes suffisamment virils auraient pitié de la pauvre Élodie qui n’est pas encore rassasiée ? Regardez-la ; vous n’allez pas la laisser dans cet état !

En effet, elle est restée allongée sur le dos, deux doigts de la main droite sur le clito et trois doigts de la main gauche dans le vagin. Elle en redemande !

Un charmant jeune homme, costard cravate, se présente. "Serze" le briffe et lui tend un préservatif. Il est vite nu, le sexe tendu et couvert. Commence alors une démonstration des positions du Kâma-Sûtra. Il la tourne et retourne, la prend de tous les côtés, par-devant et par derrière pour le plus grand plaisir d’Élodie. Il termine en lui éjaculant dans la bouche. Elle se relève, enfile son peignoir, et le film se termine.

J’ai du mal à trouver le sommeil, le spectacle tourne en boucle dans ma tête. Le réveil est dur.

Vendredi matin, dernier jour de travail ; je pense au retour d’Élodie. Où ira-t-elle poser ses valises ? Vers 10 heures j’appelle Bruxelles. C’est David qui me répond. J’entends ...

... clairement Élodie crier : ils doivent baiser à longueur de journée !

— Salut, Éric. La nuit a été bonne ?
— Aussi bonne que la vôtre.
— Ça m’étonnerait : j’ai passé la nuit avec Élodie dans mes bras. Vous connaissez ce plaisir !

Je me mords la langue pour ne pas lui débiter des insanités.

— Vous comptez rentrer quand ?
— Dimanche en fin de matinée. Ne vous faites pas trop d’illusions pour la suite des événements ; Élodie nous a dévoilé ses projets, et…
— Je ne l’attends pas ; je préfère qu’elle aille poser ses valises ailleurs. À moins qu’elle veuille s’expliquer.
— Arrêtez de jouer au méchant. Elle ne vous a pas appelé de la semaine : je ne pense pas qu’elle souhaite s’expliquer. Elle est déterminée, et vous ne semblez pas faire partie de ses projets. Je serais étonné que vous la revoyiez chez vous !
— OK, vous avez gagné, mais c’est elle qui va en faire les frais. Car je ne pense pas que vous voudrez vous embarrasser d’elle. Si ça se passe mal, je vous retrouverai.
— Calmez-vous ; vous avez la défaite amère. J’ai joué, vous avez perdu, on en reste là. Ça devait arriver, avec moi ou un autre. En fin de compte, je vous rends service.

Je lui raccroche au nez, écœuré par sa morale à deux balles.

J’ai reçu le dernier DVD ; je commence à être blasé. C’est à une partouze d’enfer que j’ai droit où Élodie s’éclate à n’en plus finir. Elle se fait prendre de tous les côtés, avec le plus souvent trois bites en elle. Plus besoin du rosebud ou de lubrifiant : le sphincter ...