Les plaisirs d'Élodie - Histoires de Sexe

Les plaisirs d'Élodie

... semble s’être suffisamment assoupli pour recevoir David sans difficulté. La pénétration est démente. Je réussis même à me réjouir du plaisir qu’elle prend. Le gamin de 18 ans est le plus acharné sur elle ; il la bourre dans tous les sens, et elle aime ça. Son ventre doit être saturé de sperme ; ça s’écoule par-devant et derrière, le canapé est maculé. Je n’ai même pas une petite érection.

Le film se termine en apothéose : Élodie est allongée sur la table du salon, cinq mâles se masturbent au-dessus d’elle et finissent par la couvrir de leur semence.

Je ne peux pas rester seul. J’appelle Michel qui me dit de passer.

Installé dans son salon, je lui décris les films que j’ai reçus. Il sort alors ses DVD et insère le premier de la pile dans le lecteur. Il me propose un whisky que j’accepte volontiers et lance la lecture. Je vois des films identiques à ceux que j’ai reçus : même scénarios, mais avec en vedette Lola. Je ne me rappelais pas qu’elle était aussi belle, une beauté latine légèrement pulpeuse. Tout comme Élodie, elle prend un plaisir évident avec ses partenaires de baise.

Nous regardons trois films en vidant la bouteille de whisky. Je suis dans un piteux état, incapable de conduire pour rentrer chez moi. Je passe la nuit dans le divan de Michel.

Je me réveille le samedi matin avec un mal de crâne pas possible. Je rentre chez moi pour prendre une douche. J’enfile une tenue de sport et enfourche mon vélo pour essayer d’éliminer mes abus de la veille. ...

... L’air est frais ; après quelques kilomètres je retrouve mes jambes. Je suis bien, j’ai réussi à me vider la tête.

Après deux heures de pédalage je prends le chemin du retour par une petite route très peu fréquentée. J’arrive chez moi cinq minutes plus tard. À quelques mètres de la maison, je vois un 4x4 déposer quelqu’un. Quand la personne se retourne, je reconnais Élodie. La voiture passe à ma hauteur et le chauffeur me fait un grand signe. Quand elle m’aperçoit sur le trottoir avec le vélo à la main, elle hésite à s’avancer. Je rentre dans le sous-sol, laissant la porte ouverte. Elle arrive derrière moi. Nous montons à l’étage pour nous installer dans le divan.

— Tu m’avais caché tes talents de baiseuse…
— Ne commence pas ou je m’en vais !
— Je ne te retiens pas.

Elle laisse échapper une larme. C’est la première fois que je la vois pleurer, et ça ne me laisse pas indifférent.

— Alors, c’est fini ?
— Qu’est-ce tu espérais ? Tu as tout gâché ! Je ne peux plus avoir confiance en toi ; mieux vaut en rester là. J’ai bien aimé tes vidéos, mais je n’ai jamais envisagé de vivre avec une pornstar.
— De quelles vidéos tu parles ?
— Chaque jour de la semaine j’ai reçu un DVD de tes exploits. Il pensait me torturer en t’exhibant… Aujourd’hui, je ressens seulement de la pitié. Tout ce que tu as fait, c’est de ton plein gré ou il t’a contrainte ?
— Il ne m’a pas forcée ; j’ai aimé m’exhiber. On a même prévu de recommencer. Maintenant que je suis au courant pour les DVD, ...