Les plaisirs d'Élodie - Histoires de Sexe

Les plaisirs d'Élodie

... de ne rien dire à Élodie à propos des DVD. Question sentiments, elle semble plutôt accrochée. Vous avez du souci à vous faire. Bon courage.
— Rassurez-vous : si je devais partager encore quelque chose avec elle, ce ne serait plus du tout pareil. Vous avez cassé quelque chose.
— Excusez-moi, ce n’était pas le but. Connaissant les sentiments de David, elle risque de tomber des nues à la fin de la semaine. Je vais essayer de lui parler.
— Ne faites rien, je n’ai pas besoin de votre sollicitude. Vous avez pris une bonne part à ma déchéance et il faudrait que je vous remercie…

Il raccroche me laissant déterminé pour la suite. Je ne pense qu’au prochain film qui m’attend.

Je viens de visionner le film, et je suis KO dans le divan. Ça se passe dans une salle genre cabaret avec une scène centrale suréclairée et entourée de tables. La salle est bondée ; le public est d’un certain âge et plutôt cossu. Pourtant l’ambiance est chaude. Je vois arriver sur scène "Serze" et un complice qui n’est autre que son frère. Il prononce un laïus pour présenter cette petite Française venue se dévergonder sur la scène bruxelloise.

Élodie arrive alors vêtue d’un peignoir satiné, comme ses deux complices. Les peignoirs sont vite retirés ; elle est vêtue de cuir, string et soutien-gorge qui ne cache rien de sa somptueuse poitrine. Les deux hommes sont nus. Sur une musique planante genre Pink Floyd, les trois protagonistes se cherchent, se séparent, se caressent. D’un geste vif, les deux ...

... frères arrachent le string et le soutien-gorge. Le jeu dure encore quelque secondes avant qu’ils ne l’empoignent sous les aisselles pour la projeter sur un lit rond de grande dimension. Une fois tous les trois sur le lit, celui-ci se met à tourner pour que le public puisse voir la scène sous tous ses angles.

Les mains et les bouches s’égarent sur les corps ; je suis surpris de voir Élodie les prendre l’un après l’autre en bouche. Elle n’a jamais pratiqué la fellation, tout du moins avec moi. Une désillusion de plus. Elle se met à quatre patte devant "Serze" et enfourne son sexe aussi loin qu’elle peut ; il va l’étouffer. Le frère se place derrière elle et la prend en levrette. Quand le lit arrive dans l’axe de la caméra, je perçois un éclat de lumière qui trahit la présence du rosebud.

Les frères inversent les positions, mais "Serze" en profite pour libérer l’anus et se glisser par la porte de derrière sans difficulté. Le frangin, après s’être fait nettoyer le sexe – il brille de salive – s’allonge sur le dos. Élodie vient le chevaucher et "Serze" vient reprendre sa place dans le fondement d’Élodie. Elle ne laisse aucun doute sur le plaisir qu’elle prend ; le public est aux anges. Le contraste des peaux, la corpulence des deux mâles et la fragilité d’Élodie rendent le spectacle hallucinant. Le public est béat. Les encouragements fusent de partout.

— Encore ! Plus fort ! Elle aime ça, la salope!

La scène se termine par l’éjaculation des deux hommes sur son visage. Une ...