Les plaisirs d'Élodie - Histoires de Sexe

Les plaisirs d'Élodie

... épousent le contour. On peut voir la forme des grains de maïs au travers de la peau. Élodie manifeste son plaisir bruyamment ; elle part au quart de tour. L’épi et la main sont trempés, et elle en redemande :

— Ouiii… Vas-y, j’aime ce que tu me fais. Bourre bien ma petite chatte. Oui, encore… Je t’aime.

Changement de plan. Le film reprend dans le séjour d’Alain. Élodie est allongée, nue, sur le canapé et s’ouvre en grand en voyant Alain approcher avec un épi de maïs dans chaque main. Elle est de nouveau parée de son rosebud. Elle se libère l’anus et il présente un épi devant sa rosette. La pénétration se fait facilement, et lorsque qu’il le ressort, il pénètre le vagin avec le second épi. Les mouvements alternés finissent par être simultanés, pour le plus grand plaisir d’Élodie. Il suffit de l’entendre. Ça dure tellement que ça devient lassant. Sauf pour elle.

Alain semble fatigué ; il passe la main à David pour prendre la caméra. Les cris se font plus puissants à mesure que les orgasmes se succèdent. Après une demi-heure de ramonage, David vient s’asseoir dans l’autre canapé. Les deux épis sont restés fichés dans le sexe et l’anus d’Élodie ; c’est elle qui les prend alors en main pour continuer à se donner du plaisir. Ses gestes sont brusques et désordonnés, elle se martèle le vagin les jambes relevées et écartées au maximum. Mon Dieu, qu’elle est indécente ! Elle explose dans un dernier orgasme. Le film se termine sur ces images, et je suis une nouvelle fois sur ...

... les genoux comme si c’était moi qui avais subi tout cela.

Je passe une nuit merveilleuse peuplée de rêves très érotiques.

Jeudi matin, je suis trop occupé à mon travail pour songer à appeler Bruxelles. C’est David qui m’appelle ; je décroche mais je ne reconnais pas sa voix.

— Bonjour, c’est Alain. David m’a demandé de vous appeler, il est trop occupé.

J’entends alors des gémissements. Ils ne s’arrêtent jamais ?

— Je crois entendre ce à quoi il est occupé ; vous n’êtes pas en train de filmer ?
— Figurez-vous que l’on a suivi votre conseil : on a recruté du monde. Il y a moi, David, Serge et son frère, et pour terminer Saïd, le fils de ma concierge, un jeune Congolais de 18 ans qui plaît beaucoup à Élodie. Il faut dire qu’il a des arguments… Les festivités ne sont prévues que pour cet après-midi. Pour l’instant, Élodie s’amuse avec Saïd. Aujourd’hui il y aura exceptionnellement deux caméras qui tournent. Vous allez aimer notre petit film. Vous devriez le recevoir vendredi matin, et ce sera le dernier pour ce séjour d’Élodie. En espérant qu’il y en ait plein d’autres…
— Que le docteur F. s’imagine me torturer avec ces DVD, je comprends ; mais vous, quel plaisir en tirez vous ?
— Pardon ? Je ne comprends rien. D’après David, c’est vous qui l’avez mise au défi de réaliser vos fantasmes candaulistes.
— Je confesse que je regarde ces films avec plaisir. Mais pour votre copain, le but avoué c’est de nous séparer, Élodie et moi.
— C’est pour cela qu’il m’a demandé ...