1. L'homme qui portait des lunettes de soleil


    Datte: 25/01/2018, Catégories: fh, Oral pénétratio, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... la baiser, et cette pensée m’avait occupée un certain moment alors qu’elle mettait sa tête sur ma poitrine et passait un ongle sur mon ventre.
    
    Un peu plus tard, ayant récupéré et repris un peu de pizza, elle a pris mon sexe entre ses délicieuses lèvres. Elle m’a pompé longuement. C’était incroyablement bon, d’une douceur exquise. Mais c’était court, car la chaleur intime de sa bouche a eu raison de mon jus, qui s’est déversé longuement sur ses seins.
    
    Nous avons pris une douche ensemble et nous sommes revenus nous blottir l’un contre l’autre sur le lit. Je l’ai pénétrée encore une fois, aussi doucement que j’ai pu ; au bout de quelques poussées, elle s’est tordue sous mon corps en haletant. Je l’ai tenue serrée dans mes bras, en bougeant lentement en elle, et je lui ai parlé de moi, de mes agréables mémoires de jeunesse. C’était la première fois que je me confessais à elle. D’ailleurs, c’était la première fois que je me confessais à une personne.
    
    Toujours enfoncé en elle, nous sommes restés longtemps enlacés, immobiles. Puis, sentant une poussée de plaisir, je lui ai soulevé les reins d’un coup et je l’ai pénétrée à fond, l’entraînant avec moi dans un petit mouvement de rotation. Je me suis laissé guider par les délices de la sensation, lui imprimant des mouvements lents et profonds, puis je me suis déversé en elle à nouveau. Lorsque je me suis calmé, je me suis s’effondré sur elle. Fatma a fermé les yeux, a eu de grands soupirs, et son corps a frissonné plusieurs ...
    ... fois de suite, en petits spasmes.
    
    Ainsi sommes-nous restés plus d’une heure, puis Fatma s’est levée gracieusement pour prendre une autre douche ; ensuite, elle m’a fait un petit bisou avant d’aller gagner sa vie. Je me suis abandonné au sommeil et je ne me suis réveillé qu’à dix-huit heures. Je me sentais en très bonne forme, plein de bonheur. Je n’avais plus en tête qu’une seule idée : Si Riadh, et le numéro de téléphone qu’il m’avait laissé.
    
    J’ai réfléchi, alors que je trottais dans le quartier de l’Espoir, à Mokhtar et à Salma. J’avais vingt-cinq ans, dont trois ans de taule. Je ne savais rien faire à part préparer les narguilhés. Je voulais croire qu’une autre vie m’attendait, et j’étais prêt à prendre n’importe quel risque. Mais à vrai dire, je n’avais rien à risquer : j’étais au plus bas, un vrai raté ; j’avais échoué dans tout ce que j’avais entrepris. Même Salma, la seule lumière qui chancelait encore dans mon âme, m’avait abandonné.
    
    Je suis allé au Café de la Jeunesse, retrouver Boukthir, avec l’espoir qu’il pourrait m’illuminer par une petite idée. Un espoir mince, mais réel.
    
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    J’ai gravi les marches et je suis entré dans la salle. C’était une grande salle de danse qui frémissait sous une onde incandescente. Des ombres qui dansaient dans une nébuleuse de corps tordus. Les genoux repliés, les cuisses tendues, tout baigne dans une fumée blanche. J’avais mis un nouveau costume beige rayé, choisi avec Fatma dans un magasin chic du centre de ...
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