1. Entre soi, ou presque...


    Datte: 03/06/2018, Catégories: ff, jeunes, magasin, telnet, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, intermast, Oral légumes, fdanus, lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :«La rencontre inattendue »Tentée au hasard d’un shopping par une boutique de chaussures, Chantal y rencontre une sympathique commise qui se mue très vite en coquine tentatrice. Après avoir agréablement abordé une première prise de connaissance, Chantal se voit proposer une visite plus complète… des modèles de chaussures, bien sûr !
    
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    Je sens ton désir, aussi violent que le mien, tes doigts dans ma chatte me font jouir, je sens que tu en veux plus encore, je glisse mes mains sous la ceinture de ton collant et commence à le faire glisser, ma main s’infiltre sous ton collant mouillé et atteint ta fente.
    
    Mon autre main dégage encore plus bas ton collant, tandis que mes lèvres quittent à regret les tiennes et descendent le long de ton corps, au rythme d’une reptation qui progressivement me fait retrouver tes seins sous mes baisers, puis ton ventre.
    
    Je continue et, bientôt, nous nous retrouvons lèvres contre lèvres, lèvres du haut face aux lèvres du bas. Ma main repousse entièrement ton collant, tu m’aides à le rejeter loin de toi, tu es nue, comme je le suis, toutes deux nues et enlacées, nos visages qui s’enfouissent dans la douce tiédeur de l’intimité aimée.
    
    Je sens ta langue comme tu dois sentir la mienne. Suçotant lèvres et clitoris, les mordillant entre lèvres et langue tout en buvant le délicieux nectar qui coule de nos minous. Ma main glisse sur ton corps, caresse ta raie, cherche ton petit trou, si humide, s’y ...
    ... attarde, le pénètre d’un doigt. Oh Chantal, quelle soirée superbe nous attend.
    
    C’est alors que Sylvie, mon associée dans la boutique passe une tête discrète dans l’entrebâillement de la porte et chuchote :
    
    — Dis Sophie, c’est l’heure, je m’en vais, j’ai tout rangé, je ferme la boutique.
    
    Et elle ajoute, espiègle :
    
    — À moins que vous n’ayez besoin de moi ?
    — Oh non Sylvie, pas pour aujourd’hui, lui dis-je en riant, mais peut-être qu’une autre fois Chantal appréciera aussi ta présence.
    
    Et tandis qu’elle referme la porte j’ajoute pour toi :
    
    — Sylvie est super, c’est elle qui m’a initiée à tout un tas de plaisirs et de pratiques ; et nous aimons toujours partager nos amies, quand celles-ci, bien sûr, souhaitent participer à ces jeux. Mais pour l’instant et pour une longue soirée j’espère, sinon plus, pour toute la nuit si tu es libre, je ne suis qu’à toi.
    
    Je conclus ce souhait et cette promesse d’un bisou tendre sur ta fesse avant de me replonger dans ton sillon.
    
    J’ouvre mes cuisses un peu plus encore quand tu lèves la tête, et délaisse ma chatte, méchante, pour répondre à Sylvie. Qu’est ce qui m’a pris de faire ça ? Tu me rends folle avec tes caresses, je deviens chienne, lubrique, obscène ! J’enfouis ma honte au plus profond de ton entaille, fourrant mon nez entre tes globes fessiers pour cacher la rougeur de mes joues.
    
    J’entends ta voix à travers le brouillard de mes sens, j’acquiesce à tes paroles d’un grognement de cochonne dans la conque de tes ...
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