1. Entre soi, ou presque...


    Datte: 03/06/2018, Catégories: ff, jeunes, magasin, telnet, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, odeurs, intermast, Oral légumes, fdanus, lettre, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... à plusieurs reprises, plus ou moins vite. Enfin, je la sors complètement, la porte à ma bouche, la lèche sur tous les côtés, introduis son bout dans ma bouche, l’y fais tourner, mêlant ma salive à mes sucs les plus intimes imprégnés sur ma banane.
    
    Je la glisse encore une fois dans mon minou, l’en retire et m’approche de toi toujours au téléphone. Tu as compris mes intentions, tu te laisses tomber sur le divan et écartes tes cuisses pour que je puisse enfiler mon gode-banane imprégné de ma salive et de mes sucs dans ton vagin.
    
    Je t’aperçois en effet par la porte à demi ouverte vaquer à tes préparatifs. J’ai une de mes protégées au téléphone et je me concentre sur ma conversation.
    
    — Babette ?… Oui, c’est moi… Mes chéries, je suis désolée, je rentrerai demain… Oui, je sais, j’avais promis… Là, je suis, euh, chez une amie… Non, tu ne la connais pas, mais elle est très sympathique… Oui, je reste chez elle… Pour la nuit, oui… Oui, ma puce, oui, une très bonne amie…
    
    Je me retourne vers toi, la main sur le micro :
    
    — C’est Babette, elle…
    
    Et là je te vois faire, je reste interloquée, puis je pouffe tant ton attitude est cocasse autant qu’excitante. Babette s’étonne de mon silence.
    
    — … Oui, oui, je suis là, ma chérie, pardon, c’est Sophie, oui, mon amie, elle fait… Oui, elle fait la coquine !… Oooooh !
    
    Le téléphone à la main, je te regarde introduire la banane dans ma chatte, j’entends distinctement les bruits mouillés qui accompagnent la pénétration dans mon ...
    ... vagin. Une vague de désir me remonte du ventre et je ne peux retenir un profond soupir qui n’échappe pas à Babette.
    
    — Hummmmm… un instant ma puce, dis-je d’une voix sourde, je suis…
    
    Je te fais signe de la tête d’arrêter tes taquineries, mais tu t’en moques. Je veux repousser tes mains et la banane-gode, en disant à voix basse :
    
    — Non, non, Sophie, attends s’il te plaît, mots que Babette saisit malgré tout et m’interroge, devinant la situation.
    
    Je tente maladroitement d’éluder ses questions, mais elle insiste et toi tu continues ! Je souffle dans le combiné :
    
    — Oh, c’est Sophie, elle… (hummmm…) … Qu’est ce qu’elle me fait ?… (oooooh!…) … Elle est trop coquine, voilà !… (hummmm) … Oui… (hummmm) … Oh non, tu es pire qu’elle, ma puce ! … Non, il vaut mieux que je raccroche… (ooooooh) … Mais si, je veux raccrocher ! Voyons Babette, tu ne vas pas écouter ! Je la connais que d’aujourd’hui tu sais !
    
    Et toi qui persistes à me tourmenter, vilaine, joignant le massage de tes doigts sur mon pubis à la recherche des zones les plus sensibles de ma chatte… J’ai beau rouler des yeux en m’accrochant au téléphone, ça n’arrête ni tes gestes ni les questions de Babette. Je voudrais couper la communication, mais je n’arrive qu’à poser l’appareil près de moi pour pouvoir me presser les seins et mes tétons à nouveau durcis.
    
    La voix de Babette s’échappe de l’écouteur :
    
    — Chantal ? Chantal chérie, tu es là ? Qu’est-ce qu’elle te fait maintenant, Sophie ? Allez, réponds-nous, ...
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