1. COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (4/5)


    Datte: 25/01/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... sauver.
    
    Les parties à trois entre femmes n’étaient pas pratiquées dans ces années-là.
    
    Du moins pas dans notre bordel et jamais elle n’a transgressé, dommage, j’étais encline à essayer.
    
    Cela recommence, « Sado » qu’est-ce que cela veut dire.
    
    Rapidement dico, oui cela y est, j’apprends même deux mots d’un coup.
    
    Sado comme sadique, qui aime faire mal et Maso pour masochiste, celui qui aime se faire mal où se faire du mal par le Sado.
    
    Cela m’interpelle, lorsque je me caresse la fente ou la chatte, je ne me fais pas de mal alors je ne suis ni Sado ni Maso.
    
    Maintenant, je viens de saisir ce que mamy appelle mon clito au point d’avoir mal.
    
    Je suis sado, car je me fais mal et en même temps maso car plus je serre, plus j’ai mal.
    
    Bizarrement j’aime cela au point de ressentir pour la première fois de ma vie une grande décharge qui parcourt mon ventre et remonte jusqu’en haut de ma colonne vertébrale.
    
    J’étais trop inexpérimentée pour savoir si je venais d’avoir mon premier orgasme.
    
    Vite en place, la suite me passionne et le plaisir sado-maso que je viens de ressentir m’incline à comprendre la suite, je n’ai rien perdu, elle a eu soif.
    
    - En septembre 1942, j’ai fêté de nouveau mon anniversaire.
    
    Je suis dans l’incapacité de dire le nombre de sexes de grosseur ou de longueurs différents que mon vagin a dû recevoir.
    
    Si entre femme nous ne partouzions pas, je ne compte plus les doubles pénétrations, les sodomies que l’on m’a infligées au nom de ...
    ... notre leader suprême.
    
    En trois ans, j’ai eu l’impression d’avoir vieilli de trente ans.
    
    J’ai eu de la chance, j’avais échappé à la folie des hommes en noir et aux grossesses.
    
    Dans mon récit, je m’aperçois que j’ai oublié de vous parler des grossesses. Chaque fois qu’une fille perdait ses règles, le médecin mis à notre disposition s’occupait plus d’elle afin de la remettre sur pied chaque fois que l’une de nous avions été massacrées par des hommes qui se défoulaient sur nous des peurs qu’ils avaient au combat.
    
    Ils ne voulaient pas risquer que ces filles perdent leur bébé s’il y en avait un.
    
    Si nos règles revenaient et qu’il nous jugeait apte au service de nos hommes devenus nos bourreaux, il nous renvoyait dans nos chambres.
    
    Chaque grossesse, les filles étaient envoyées dans la maternité dite de la race pure et dès qu’ils le pouvaient, les bébés nés, ils les renvoyaient chez nous.
    
    Ce fut le cas d'Hilde et surtout Brigita deux fois avant qu’elle ne se défenestre.
    
    Du premier jour, j’avais appliqué les méthodes de Brigita qui hélas ne marchait que huit fois sur dix, ce fut le cas pour elle.
    
    De nouvelles filles sont venues prendre la place des absentes ou défuntes.
    
    Elles étaient de plus en plus âgées, car ils nous avaient recrutés lorsque les plus jeunes d’entre nous étaient des femmes sexuellement.
    
    De plus le rang dans la société que ces messieurs acceptaient d’engrosser pour que notre lignée soit irréprochable limitait leur choix.
    
    Ils étaient ...