COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (4/5)
Datte: 25/01/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... l’avoir perdue définitivement à son profit lorsque le lendemain après avoir joué de mon violon et m’être bien fait ramoner la soupente, j’ai vu qu’il n’en était rien.
Le vin devait aider mamy, car je n’avais jamais entendu parler de « brouter » ni « de se faire ramoner la soupente ».
Elle ne racontait rien de primordial alors rapidement j’ai pris mon dictionnaire.
Brouter était rattaché au ruminant et la soupente se trouvait sous les toits, j’étais bien avancée.
Le temps de chercher, j’ai loupé le début de sa phrase suivante.
- …dur, c’est lorsqu’elle a voulu que l’on s’embrasse, que je me suis rendu compte qu’elle avait perdu quelque chose.
Alors, pour ne pas la décevoir, je me suis glissée jusqu’à sa petite fente très poilue.
Après lui avoir écarté les grandes lèvres avec ma langue, je l’ai broutée jusqu’au bout de la nuit.
Elle en a fait de même avec moi et grâce à ses lèvres qu’elle frottait sur ma chatte et mon clitoris, rapidement j’ai oublié Hilde.
Du moins jusqu’au lendemain matin où Ingrid m’a fait revenir dans notre chambre et où Hilde sans aucun remords m’a prise dans ses bras.
Bien, j’ai résolu le terme « brouter », c’est lécher la chatte d’une femme avec la langue, j’avance dans ma sexualité, j’espère que bientôt moi aussi, je serai broutée, pénétrée et pourquoi pas sodomisée.
Hélas je suis trop jeune pour que les garçons me remarquent.
Mes seins, on peut en parler, ils sont à peine sortis de ma poitrine, pourtant je les ...
... arrose matin midi et soir lorsque je prends des douches.
Ma petite chatte comme le dit tout à l’heure mamy, là, il y a de l’espoir depuis quelques semaines, je compte chaque fois un ou deux poils de plus et une ombre commençant à la tapisser.
Si cela continue, ma touffe va être gigantesque, j’espère que cela plaira aux garçons, mais concentre-toi Lolo, tu as peut-être encore des choses à apprendre.
- Je vivais heureuse même si le sexe des hommes qui nous perforaient n’égalait pas les moments avec Hilde et Ingrid.
Ingrid qui connaissait notre attachement a eu un comportement fort honorable, nous tournions un jour sur trois chez elle dans sa chambre dans l’aile où j’avais perdu mes pucelages, les cinq matrones avaient le privilège d’avoir leur chambre personnelle.
Nous savions toutes qu’il valait mieux ne pas avoir la malchance de rentrer dans deux de ces chambres, car les filles étaient sados et les coups pleuvaient toute la nuit.
Parmi elle, une polonaise venue de l’Est était la plus salope.
Les files qu’elle surveillait venait dans la salle commune couvertes d’ecchymoses.
Certaines, le lendemain soir lorsque les hommes en noir remarquaient les zébrures sur leurs cuisses et leurs fesses les faisant se retourner pensant qu’elles aimaient cela, ils les choisissaient en priorité.
Quelques mois plus tard, je peux même dire années, lorsque j’y repense et après que j’ai su ce que je sais, je pense qu’Ingrid en nous prenant sous sa coupe a voulu nous ...