COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (4/5)
Datte: 25/01/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
De nouveau les chaises bougent et je repousse ma porte, les toilettes sont sollicitées ainsi qu’une bouteille de vin pour continuer à ce que les langues se délient.
Je sentais à la vitesse où elle souhaitait reprendre son histoire que mamy Marlène était contente de s’épancher.
Moi, je découvrais mon sexe, car les dernières péripéties qu’elle nous rapportaient, sauf la scène du coup de feu, me permettait de parcourir ma fente et plus je me caressais et plus du liquide sortait de moi.
Pas de la pisse que j’avais déjà touchée le jour où, chez une tante dans le Tarn, j’avais renversé mon pot de chambre de nuit et que j’avais été obligée de passer la serpillière.
Là, mes doigts étaient presque recouverts d’une substance visqueuse et lorsque j’ai senti mes doigts avec mon nez, l’odeur était plus agréable que de l’urine.
J’ai même fini par lécher avec le bout de ma langue mes bouts de doigts et j’ai trouvé cela agréable et non répugnant.
Je venais de goutter, ce que je devais apprendre plus tard, être de la cyprine émise par mes glandes intimes.
Après les verres s’entrechoquant entrecoupés de « santé », mamy continua son histoire.
- Il est dit que le malheur frappe souvent deux fois, car Brigita, forte femme si l’en était, n’a pas supporté la disparition de Greta.
Dans la nuit dans le noir, nous avons entendu un grand bruit, les chambres étant systématiquement éteintes par Ingrid, notre garde-chiourme.
La seule chose que nous avons sue, c’est que la ...
... fenêtre était éclatée et que nous avions beau appeler, aussi bien à la porte fermée à clef que dehors, personne ne répondait ou ne bougeait.
Dès qu’il a fait jour, en passant la tête par la vitre, en faisant attention de ne pas me couper le cou.
Bien qu’une fraction de seconde l’idée de finir tout ce bordel, en passant ma gorge sur l’arête tranchante à ma portée, m’ait effleurée.
Il faut croire que je n’avais pas assez reçu de sperme en moi, car après avoir vu que Brigita n’était plus en bas, seule une tache brune étant au sol, j’ai rentré ma tête et nous n’avons rien su de la journée.
Nous espérions savoir auprès des autres filles si elles savaient où elle avait été emmenée et surtout si elle était vivante, après une chute de presque six mètres la tête en avant.
Lorsque nous nous sommes retrouvées dans notre chambre toute les deux avec Hilde, un panneau de bois avait été posé et nous n’avons jamais su si elle était morte ou conduite dans un autre lieu.
Avec Hilde, la vie a repris comme si rien n’avait eu lieu.
Pardon, Ingrid est devenue plus douce avec nous c’était comme si Brigita partie, la glace commençait à fondre entre nous.
Mais je me trompais, c’était Hilde qui l’intéressait car dès le lendemain soir elle n’est pas revenue dans la chambre et j’ai passé la pire nuit de ma vie, certes rassurée qu’elle ne pourrait pas brouter mon aimante.
Je ne sais pas pourquoi, lorsqu’elle a évoqué le terme « brouter », tous ont ri.
- J’étais persuadée de ...