L'étalon aiguille (Tome 2) (10)
Datte: 01/06/2018,
Catégories:
Transexuels
Auteur: Sam Botte, Source: Xstory
... ces vestiaires, pendant que nos camarades luttaient contre le chrono.
C’est au moment où elle collait contre mon phallus gonflé de désir son corps d’adolescente que je m’éveillai.
Les rêves ont ceci de particulier qu’ils ne répondent pas forcément d’une logique "réaliste". C’est pourquoi je ne cherchai même pas à comprendre comment j’avais pu apprendre à nager sans que mon secret ne soit percé à jour, ni même pourquoi Jennifer portait soudain, en plus de son maillot de bain brésilien, des cuissardes à talons aiguille de dix centimètres et de longs gants en cuir rouge assortis…
J’avais les jambes serrées, et ma main coincée entre mes cuisses par-dessus la nuisette cherchait à forcer le barrage et à exciter mon clitoris.
Je poussai un long soupir et m’étirai doucement pour essayer de me détendre.
Mais mon rêve inachevé continuait à me travailler, preuve en était la chaleur qui enflammait mon bas-ventre. Je me "souvenais" tellement fort des mains de Jen’ sur mon corps qu’il fallait que je retrouve cette sensation. Je rejetai brutalement la couette et pris dans la poche du manteau les gants en chevreau.
Je fis courir mes mains gantées sur tout mon corps, la droite insistant sur le haut du caraco et la gauche sur mes jambes glabres. Sentir la caresse du satin à travers le cuir du gant maintenait mon désir au plus haut. Tout en me tordant de plaisir, je me mis à gémir doucement. Ma main gauche remonta caresser mes seins aux tétons raidis, tandis que de la ...
... droite, je commençais à agacer mon clitoris à travers la nuisette, m’arrachant de véritables cris de jouissance. La différence par rapport à l’époque où j’étais un homme, c’est que les moments où j’appuyais mon majeur tellement fort que mon doigt commençait à me pénétrer étaient suivis par des caresses beaucoup plus douces, plus sensuelles et moins sauvages.
Alors que neuf fois sur dix, l’homme que j’étais auparavant éjaculait au terme d’une masturbation frénétique, du moins à partir du moment où un certain seuil d’excitation était atteint, là, je découvrais ces accalmies qui n’avaient d’autre but que de me permettre d’aller encore plus haut dans ce ciel que l’on dit être le septième…
Le reste de la journée passa doucement, mais plus l’heure avançait, plus je me demandais comment j’allais me sortir de ce "pétrin" dans lequel Lydie m’avait mise afin de s’en sortir, elle.
Je me voyais en effet assez mal me pointer au boulot et expliquer que durant le week-end, j’avais troqué mon nécessaire trois pièces contre un 90B ! Je pris mon portable et rédigeai à l’intention de mon responsable d’agence le SMS suivant : "Cause gros pb persos impossible venir travailler. Mets-moi en congés toute la semaine. Je te recontacte asap. Sam".
Je décidai ensuite de fouiller une nouvelle fois, et sans rien laisser au hasard, toutes les affaires que Lydie m’avait laissées. La minirobe en cuir n’avait pas de poche, par contre, le chemisier en possédait une plaquée sur la poitrine. Je retournai ...