1. Petit traité de sociologie amateur


    Datte: 01/06/2018, Catégories: médical, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, Auteur: Marisa Marlux, Source: Revebebe

    ... de potaches. Comptabiliser le nombre de quéquettes que chacune avait l’occasion d’entrevoir. Dix ans après leurs études, Josepha comptabilisait toujours. Elle venait au travail avec son petit carnet, soigneusement organisée. Elle notait chaque jour de présence, et dans les colonnes adéquates, elle faisait de petites barres. Il y avait la colonne des zizis vus, celle des zizis touchés, celle des érections vues, celle des érections provoquées. Et consciencieusement, elle notait. Parfois une de ces biroutes lui laissait une impression particulière. Elle y ajoutait alors un numéro et commentait en fin de carnet ces sentiments vis-à-vis de ce sexe :
    
    Parfois, elle indiquait le propriétaire :
    
    Et Josepha comptait. Quand elle arrivait à un chiffre rond, elle offrait la tournée. La cinq centième érection, champagne… la millième biroute, tournée générale. À la deux millième biroute comptabilisée, elle a même été boire un verre avec l’heureux propriétaire. Et, comme il était sympa, elle lui a expliqué la raison de la petite fête. Le monsieur n’en est toujours pas revenu !
    
    Les phantasmes de ces messieurs confrontés aux infirmières, c’est généralement qu’elles vont leur accorder une petite gâterie. Les déceptions sont bien évidemment nombreuses. Certaines parmi mes collègues prenaient cependant un plaisir évident à affirmer une érection. Pendant un soin ou une toilette, il arrivait régulièrement des gonflements annonciateurs de garde à vous. La plupart des infirmières, si ...
    ... c’était le moment de passer à autre chose, passaient effectivement à une autre action dans les soins à ce patient, laissant les biroutes toutes penaudes. D’autres par contre, quand l’épanouissement de la quéquette semblait proche, trouvaient alors un incontestable contentement à s’attarder jusqu’à obtenir la raideur souhaitée. Mais cela s’arrêtait là.
    
    Chloé est l’exception qui confirme la règle. C’était l’infirmière « saute au paf ». La seule que j’ai connue. Tout ce qui était mâle, avait toutes les chances de passer à la casserole avec elle. Médecins, kinés, infirmiers, ambulanciers, chauffagistes et patients, rien ne la rebutait. Il était déjà arrivé qu’une collègue la découvre chevauchant un patient. Mais la plupart du temps, c’est quand on la voyait sortir d’une chambre, le tablier mal rajusté, la coiffure en bataille, voire le regard un peu hagard, qu’on se disait qu’elle avait encore frappé. Elle avait été appelée par la direction de l’hôpital, mise au courant de ces mœurs douteuses. Mais de sanction il n’y eu point. Comment a-t-elle pu éviter une telle sanction ? Allez savoir !
    
    D’autres infirmières ont également eu des relations avec certains patients. C’était le plus souvent le début d’une histoire amoureuse. Quand au bureau, on tombe amoureux ou amoureuse d’un ou d’une collègue, on l’invite ou on se fait inviter pour boire un verre. À l’hôpital, il était possible que cela se passe différemment avec les patients. Il faut dire que parfois tout le matériel était à ...
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