Complexe qui devient attrait
Datte: 31/05/2018,
Catégories:
fh,
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amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
entreseins,
Oral
pénétratio,
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entrecoup,
fbi,
Auteur: Audrey, Source: Revebebe
... espagnole ». Il déversait ensuite sa semence sur mes seins. Prenant du bout des doigts son jus, il m’y faisait goûter. Il acceptait également que je prenne son vit en main, que je le branle délicatement, puis que j’y dépose quelques baisers.
— Anaïs, me dit-il au moment de la séparation, j’espère que je t’ai fait passer des moments délicieux. Je veux seulement te donner un conseil. Oublie-moi vite, apprends à connaître ton corps en te branlant souvent, très souvent, au minimum une fois par jour. Alors tu seras prête pour qu’un homme te déflore et qu’avec lui tu passes à la vitesse supérieure.
J’ai suivi ses précieux conseils et le regret de perdre ce premier amant, qui en fait ne s’était intéressé qu’à mes « gros nichons », fut de courte durée. Mon second copain, tout aussi fasciné par ma poitrine, fut celui qui me fit perdre ma virginité.
J’étais devenue une fille dévergondée, aimant le sexe et jouant de l’attrait dont je disposais. Mes seins étaient un appât pour attraper les hommes et nombreux étaient ceux qui se seraient jetés dessus comme la misère sur le pauvre monde. Comme je jouais le bon samaritain, je contentais certains regards en offrant ainsi ma poitrine. Il y eut, beaucoup plus rarement, des caresses accordées à des hommes de passage sans aller plus loin et sans lendemain. Un jour, ce fut un jeune homme qui est devenu rouge comme une pivoine, un autre jour, un vieux monsieur qui voulait avant de mourir, caresser une dernière fois une poitrine ...
... aussi volumineuse que celle de sa défunte femme (j’appris par la suite qu’en réalité elle était plate comme une limande, mais comme il était décédé, je ne lui en tenais pas rigueur). Mais jamais je n’ai monnayé mes appas, ce que j’aurais pu très facilement faire. D’ailleurs, si un homme se montrait prêt à payer, il se voyait refuser toute libéralité de ma part. Je ne voulais pas qu’on puisse me prendre pour une pute, la réputation de salope m’arrivant déjà parfois aux oreilles.
Damien était plein aux as. Ce n’est pas cela qui m’attira chez lui. D’ailleurs c’est surtout lui qui a flashé sur mes seins. Ses parents BCBG, faisant chambre à part, culs bénis avec la messe tous les dimanches et tout le saint-frusquin, avaient engendré un obsédé sexuel. Il voulait baiser tout le temps et partout. Oh, il me faisait jouir, cependant certaines de ses pratiques n’étaient pas à mon goût et je ne suis pas prête à les réitérer, comme son goût pour l’urologie. Ce fut une surprise lorsqu’un matin je me suis réveillée sous une cataracte de son urine m’aspergeant le corps et même le visage.
Lorsqu’il me baisait, il voulait toujours voir mes seins, ce qui était impossible lorsqu’il me prenait en levrette. Je suis arrivée un jour dans sa chambre et j’ai découvert qu’il venait d’acheter une grande psyché. J’en compris l’utilité lorsqu’il planta son pieu dans mon sexe, face à la glace qui revoyait nos reflets et surtout mes deux gros nichons pantelants. Paraissant encore plus énormes, ils se ...