1. Complexe qui devient attrait


    Datte: 31/05/2018, Catégories: fh, ff, jeunes, couplus, enceinte, grosseins, complexe, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral pénétratio, couple, entrecoup, fbi, Auteur: Audrey, Source: Revebebe

    Moi, Anaïs, j’avais un complexe durant mon adolescence. Un complexe qui a gâché ma vie jusqu’à l’âge de 19 ans. J’avais une poitrine imposante, bien supérieure à toutes celles de mes copines de classe. Pour vérifier ce que je concevais comme une anomalie, je pris les journaux « de charme » dont mon père était un lecteur assidu. Je comparais mes seins à ceux de ces filles sur papier glacé et ni dansLui, ni dansPlayboy, je ne vis de filles aussi pourvues par la nature que moi.
    
    Pour cacher mes gros nénés, je portais les pulls informes qui dissimulaient la silhouette de mon corps. Quant aux vacances, jamais je n’allais au bord de la mer, bien trop gênée pour exposer dans un bikini forcément trop petit ma poitrine. Je devenais extrêmement pudique. Le plus problématique était lors des lourdes chaleurs où je devais laisser tomber le pull. Alors, quelle que soit la tenue enfilée, on ne voyait plus que mes nichons.
    
    C’est grâce à une cousine que le plus gros de ma gêne a commencé à s’estomper. Murielle avait le même âge que moi. J’étais partie à la campagne en vacances avec mon oncle et ma tante et je dormais dans la même chambre que Murielle, puisque la seconde était celle des parents et la dernière celle occupée par leur fils.
    
    Un jour, alors que nous nous changions pour le repas du soir, je me suis aperçue qu’elle s’était arrêtée, et qu’elle me regardait. Nous ne nous cachions pas forcément lorsque nous nous déshabillions, mais sans s’exhiber l’une à l’autre, je n’avais ...
    ... donc jamais détaillé son corps tout comme elle n’avait pas observé le mien. Ses yeux fixés sur moi, seulement vêtue d’une culotte, n’étaient pas une attitude habituelle.
    
    — Qu’est-ce qu’il y a ? lui ai-je demandé.
    — Anaïs, tu as des seins magnifiques.
    — Ouais, ils sont hideux, tu veux dire.
    — Attends, je suis sérieuse. J’aimerais avoir une poitrine comme la tienne.
    
    Elle s’est approchée de moi alors que j’étais tout comme elle la poitrine nue. Elle me demanda :
    
    — Je peux te les caresser ?
    
    Je n’ai pas répondu, étonnée par sa demande. Elle a pris mon silence pour un accord et elle a commencé à parcourir mes seins du bout des doigts, puis elle les a empaumés pour en apprécier la lourdeur.
    
    — Ils sont si lourds et pourtant ils ne s’affaissent pas. Si mon copain voyait ça, il serait fou. Il adore les femmes aux gros nichons. Avec moi, il n’est pas gâté, je n’ai pratiquement pas de poitrine.
    — Tu sais, c’est peut-être mieux…
    — Taratata. Regarde, c’est presque plat.
    
    Il est vrai que sa poitrine était ridiculement plate. Seule la large aréole permettait de repérer qu’il s’agissait d’un sein féminin avec un léger renflement de la peau pour toute rondeur. Elle m’invita à caresser la peau qui lui faisait office de poitrine tout en continuant à malaxer la mienne.
    
    Nous n’allâmes pas plus loin car on nous appelait pour manger. Cependant cette masturbation de mes seins par les mains de ma cousine m’avait particulièrement troublée. Lorsqu’elle me demanda si elle pouvait à ...
«1234...21»