Complexe qui devient attrait
Datte: 31/05/2018,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
couplus,
enceinte,
grosseins,
complexe,
vacances,
plage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
entreseins,
Oral
pénétratio,
couple,
entrecoup,
fbi,
Auteur: Audrey, Source: Revebebe
... pas agréables, seulement parce que je n’en avais plus envie.
Ce séjour avec ma cousine me permit de comprendre que ma forte poitrine ne devait plus être un handicap pour moi, mais au contraire un potentiel de séduction. Je changeai donc la façon de m’habiller, sans pour autant être provocante. Et dès lors, je vis le regard des hommes se poser sur moi et naturellement s’arrêter sur ma poitrine. Je ne fus pas gênée, et au contraire cela me plut bien.
Des garçons commencèrent à vouloir flirter avec moi. Parmi eux, Fabrice, le beau Fabrice, le séducteur qui avait collectionné les conquêtes amoureuses dans le bahut et brisé bien des cœurs. Il n’eut pas besoin de me faire du gringue pour me faire tomber dans son escarcelle et dès le premier baiser, un de ceux qui coupent le souffle, il était convenu que j’allais passer à la casserole sans même qu’il eût besoin de le dire.
— À la rentrée, m’a-t-il averti tout de suite, je pars en Angleterre pour les études, alors entre nous, c’est un RDD, un rapport à durée déterminée.
— À titre provisoire. Ça me va, ainsi je sais à quoi m’en tenir et tu ne me briseras pas le cœur lorsque tu iras baiser les Anglaises. Tout au plus, j’aurais des regrets.
— J’espère bien, mais surtout pas des remords. Il ne faut jamais se dire « je n’aurais pas dû », pour ne pas avoir à dire j’aurai dû. Comme dit le proverbe chinois : « La femme infidèle a des remords, la femme fidèle a des regrets. »
Durant ses paroles au sens ambigu, il avait ...
... manœuvré pour que nous soyons dans un coin discret et tout en m’embrassant, il commença à me peloter les seins. Il y avait le chandail et le soutien-gorge. Ils ne furent que de bien piètres murailles. Ses mains s’insinuèrent sous le vêtement, l’attache du soutif défaite prestement (il était très habile), mes « miches » s’échappèrent de leur coque. Il commença réellement à me malaxer les « nichons » tout en prenant littéralement possession de ma bouche. J’étais sur un nuage, je m’agrippais à lui et pour la première fois un homme me donnait du plaisir en tripotant ma poitrine.
— Putain, les nibars que tu as, Anaïs, dit-il en les soupesant. Allons ailleurs, il faut que je les voie. Putain, ces nibars…
Oubliant toute pudeur, c’est avec plaisir que j’ai quitté chandail et soutif. Il ne fut pas déçu lorsqu’il put voir en pleine lumière mes seins qui sous l’effet de ses caresses durcissaient et dont les pointes devenaient saillantes.
Fabrice, durant le mois que nous avons passé ensemble, ne chercha jamais à me pénétrer. Je ne le lui ai jamais demandé et il n’en a jamais émis le besoin. En plus de s’occuper de ma poitrine, il se contentait de frisotter les poils de mon pubis, de masser mon mont de Vénus, de passer sa langue le long de mes lèvres intimes, de jouer avec mon clitoris, et je me tortillais de plaisir en poussant des ronronnements de chat. Pour autant, il ne me cacha pas sa verge qu’il venait branler entre mes seins. J’appris à cette occasion ce qu’était une « branlette ...