1. Complexe qui devient attrait


    Datte: 31/05/2018, Catégories: fh, ff, jeunes, couplus, enceinte, grosseins, complexe, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral pénétratio, couple, entrecoup, fbi, Auteur: Audrey, Source: Revebebe

    ... balançaient sous moi. Lorsque je vis cette image, elle me parut si indécente, si obscène, que j’en fus gênée. J’ai tourné la tête pour ne pas voir ce reflet. Après plusieurs jours je parvins à accepter de voir mes seins en transe, d’observer ma chatte s’ouvrir et être investie par un phallus au calibre plus qu’appréciable. C’était encore plus choquant que les plus hard des films X que Damien me demandait de regarder avec lui. Sans doute parce que cette fois, j’étais à la fois l’actrice et la spectatrice.
    
    Avec un tel amant que Damien, j’ai connu la sodomie naturellement, la double pénétration avec un godemiché dans le vagin et son zob dans mon cul. Ce fut encore l’occasion d’un certain dégoût lorsqu’il m’arracha de la cuvette des toilettes alors que j’allais de corps, sans que je puisse m’essuyer. Et, m’entraînant sur le lit, il me sodomisa disant :
    
    — Oh, j’aime enculer les culs merdeux, oh, oui ! Et lorsque je ne déchargerai pas dans ton cul, mais dans ta bouche ? Il te faudra sucer ma bite et dans ton gosier de chienne coulera mon foutre mêlé à sa merde.
    
    J’ai lu plus tard qu’il s’était inspiré du marquis de Sade qui finit ses scènes d’enculage par ces morts : « On s’y enivra complètement et l’on y fit des horreurs d’une saleté si complète que je ne pourrais les peindre sans faire tort aux tableaux moins libertins qu’il me reste encore à offrir aux lecteurs. »
    
    Je ne sais pas pourquoi je suis restée trois mois avec lui entre plaisir, jouissance et dégoût. ...
    ... Peut-être parce que je me disais qu’avec lui je pouvais en apprendre plus sur les rapports humains qu’avec n’importe quel autre mâle. Aussi, le jour où il voulut que je suce sa queue pleine de merde, je me suis défilée me disant que mon départ était proche. Et lorsque lui vint l’idée de chier sur moi, il avait dépassé la ligne jaune. J’ai pris mes affaires et je l’ai quitté. À mon grand soulagement, il n’a jamais cherché à me revoir.
    
    J’assurais une formation d’informatique pour une association. Alain, responsable du lieu, me reçut avant l’arrivée des participants pour organiser la salle, le rétroprojecteur, les écrans d’ordinateur, etc. Comme beaucoup d’hommes, son regard se posa sur ma poitrine proéminente, mais ses yeux remontèrent à mon visage sans le moindre trouble. Le plus souvent les regards intéressés restaient posés sur mon anatomie beaucoup plus longuement que la bienséance ne le voudrait, puis ils allaient se perdre sur le sol, comme honteux, n’osant me fixer. Cette attitude d’Alain qui avait indiqué qu’il appréciait mes appas et ensuite me regardait comme tout être humain, sans gêne ni honte, m’avait bien plu. Je ne portais pas une tenue sexy, ne voulant pas déconcentrer les participants, car je n’ignorais pas qu’ils risquaient de perdre le cours s’ils s’évertuaient à en voir un peu plus de ma personne. Je pouvais ainsi sans risque me pencher sur un écran, tourner sur moi-même sans risque. Non, j’avais une tenue stricte, sans décolleté, non ajouré sous les bras, sans ...
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