1. Complexe qui devient attrait


    Datte: 31/05/2018, Catégories: fh, ff, jeunes, couplus, enceinte, grosseins, complexe, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, Oral pénétratio, couple, entrecoup, fbi, Auteur: Audrey, Source: Revebebe

    ... sexuels, aussi bien pendant la grossesse qu’après la naissance. Nos corps avaient trop d’attirance l’un pour l’autre.
    
    Et puis la naissance de bébé était un témoignage éclatant de notre amour et un ciment fortifiant, s’il en était besoin, notre couple.
    
    Un jour mes parents, Monique et Jules, sont venus voir leur petit-fils. Comme à mon habitude, lorsque mon marmot réclama le sein, je l’ai pris contre moi et devant la famille je me suis dépoitraillée pour lui offrir ma mamelle.
    
    — Tu devrais être plus discrète, dit ma mère.
    — Pourquoi ? Je suis fière de donner la tétée à mon nourrisson.
    — Si vous saviez, Monique, dit Alain, l’autre jour nous sommes allés faire des courses et votre fille a voulu manger au Flunch du Centre commercial. Le bébé lui aussi a voulu son repas. Eh bien, devant tout le monde, dans le restaurant, elle a sorti son sein et lui a donné ! Ils ont été nombreux à voir cela et pas une personne n’a pipé : pas une réflexion, pas une remarque. Il est vrai que les responsables du restaurant n’ont rien vu, je ne suis pas sûr qu’ils aient vu cela d’un bon œil.
    — Nourrir son enfant au sein, dis-je à mes parents, est quelque chose de naturel, je ne vois pas pourquoi je me cacherais.
    — Surtout, dit mon père, que ma fille a une très belle poitrine.
    — Jules, tonna ma mère, c’est ta fille.
    — Eh bien quoi, j’ai bien le droit de dire que ma fille a des beaux seins, je ne vois pas où est le mal.
    — C’est vrai que toi, dès que tu vois une forte poitrine, on ne te ...
    ... tient plus.
    
    Ces chamailleries sans conséquence étaient fréquentes entre mes parents. C’est du côté paternel que me venait ma grosse poitrine, ma grand-mère étant très plantureuse. Elle avait même été nourrice pour un enfant d’une famille noble dans sa jeunesse. Mon père avait donc eu une sœur de lait marquise.
    
    Le temps que je tourne le dos pour aller recoucher la marmaille après la tétée, j’ai vu le flacon de lait du réfrigérateur sorti et ma mère et mon père en versant dans leur bol.
    
    — Il est délicieux ce lait, dit ma mère.
    — Oui, rien à voir avec ce qu’on peut acheter dans le commerce. Vous l’achetez directement à la ferme ?
    — Euh, non, c’est mon lait.
    — Je sais bien, je l’ai pris dans ton frigo.
    — Non, je veux dire, c’est le lait de mes seins, celui que je prélève car finalement j’en ai trop.
    
    Mes parents restèrent médusés.
    
    — Eh bien ! dit mon père, il a fallu que j’attende que ma fille ait un enfant pour connaître le goût du lait maternel. Ma mère, ta mémé, m’a donné le sein, mais je n’en ai plus aucun souvenir.
    — Pourtant, maman, dis-je, je croyais que tu m’avais allaité ?
    — Eh oui ! Anaïs, continua mon père, ta mère t’a donné le sein, pas longtemps, mais elle t’a bien allaitée. Cependant, à ce moment-là, il m’était interdit de lui caresser la poitrine, et donc, elle ne m’a jamais permis de goûter à son lait.
    — Vas-y, Jules, raconte comment nous faisions l’amour pendant que tu y es. Je n’y crois pas.
    
    Il est vrai que parfois mon père distillait des ...
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