Complexe qui devient attrait
Datte: 31/05/2018,
Catégories:
fh,
ff,
jeunes,
couplus,
enceinte,
grosseins,
complexe,
vacances,
plage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
entreseins,
Oral
pénétratio,
couple,
entrecoup,
fbi,
Auteur: Audrey, Source: Revebebe
... présentable. Chez moi, j’aurais pu aller nue, mais chez le gynéco, pour les échographies, chez le kiné, etc.
Parfois la sœur d’Alain, Sidonie, venait nous rendre visite et elle prenait un grand plaisir à caresser mon ventre de plus en plus volumineux et de sentir parfois le bébé bouger. Pour cela, j’ouvrais ma chemise, laissant mon ventre nu et mes mamelles au-dessus dans leur écrin de dentelle. Je voyais son regard s’extasier devant ma poitrine, elle qui n’avait pas grand-chose dans le corsage.
Oui, un ventre énorme, des seins qui reposaient sur ma bedaine, et mon mari ravi du spectacle. Pendant ma grossesse, il a fallu qu’il assure, car j’étais une furie du sexe, il m’en fallait dès son retour du bureau, après le repas, durant la nuit si je me réveillais et le matin au réveil. Je ne parle pas des week-ends qui étaient particulièrement bien remplis en jeux amoureux et sexuels.
Pourtant, il nous a fallu adapter notre sexualité, des positions comme celle du missionnaire étant très vite devenues impossibles. Celle de la levrette avait tendance à me provoquer des douleurs lombaires. Nous restait la position des cuillères qui était très agréable. C’est également dans cette période qu’Alain me sodomisa le plus fréquemment. J’appréciais cette pratique, mais nous ne la mettions en œuvre qu’épisodiquement. Je ne pourrais donner une moyenne, car en temps normal, nous pouvions passer plus d’un mois sans en éprouver l’envie, le besoin, le désir, tandis qu’à d’autres ...
... périodes, en une semaine nous le faisions plusieurs fois. Là, durant ma grossesse, la belle et grosse queue de mon époux venait visiter ma grotte secrète quasi quotidiennement, mettant au repos mon vagin qui allait voir sortir l’être qui se développait en moi.
Enfin, le bébé, un garçon, vit le jour. La question de l’allaitement ne se posait même pas. Si la nature m’avait donné de si beaux seins, ce n’était pas seulement pour attirer les hommes. J’allais nourrir mon fils avec du bon lait. Il s’est montré vorace en s’agrippant à mon sein nourricier. Un sein était bien suffisant pour le rassasier, mais désirant alterner la tétée, tantôt à gauche, tantôt à droite, il fallait que je me fasse « traire » le surplus avec une machine ad hoc. Par curiosité, j’ai goûté à ce lait prélevé. Il était très onctueux et crémeux avec un petit goût sucré. J’invitai Alain à en faire de même. Il apprécia autant que moi et que bébé et émit une idée saugrenue mais qui m’amusa beaucoup :
— Ça te gênerait si je m’en servais comme lait, plutôt que de le jeter.
— Oh, non, Alain, pas du tout ! Tu pourrais aussi venir me le prélever directement à la source, mon amour.
— En même temps que bébé ?
— En même temps, ou après, surtout si c’est un préliminaire à des galipettes.
Galipettes qui se terminaient souvent par une sodomie dans les premiers temps, en attendant que mon périnée reprenne sa place. Finalement la venue de bébé n’a en rien entamé notre amour et l’appétit que nous avions dans les rapports ...