1. Catherine rencontre Julien


    Datte: 30/05/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, vacances, plage, amour, 69, pénétratio, extraconj, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... j’attends, confiante. Il est le mâle. Il enlève son boxer. Il est calme, pas fébrile. Sûr de lui. Ah, non, il ne m’aurait pas menti longtemps ! Son sexe est normal. Pas énorme, pas petit non plus, bien érigé, surmontant deux boules qu’ornent de noirs poils bouclés. Quant il sera bien à moi, fière de lui je le ferai poser nu au marché, David de Michel-Ange que j’aurai bien épuisé avant pour qu’il ne bande pas en public.
    
    Il peut faire ce qu’il veut. Ah, il s’intéresse à mes seins. Très bien ! Il tète, malmène avec sa langue, aspire. Je m’empare de sa verge qui palpite. Non, qu’il ne jouisse pas tout de suite, lui non plus ! Heureusement il fignole, descend, je le lâche, c’est sûrement ce qu’il voulait, et ses lèvres sont à nouveau sur son sexe trempé, pourtant assoiffé comme jamais.
    
    — Viens, viens !
    
    Mes mains ont agrippé ses tempes, ma bouche veut la sienne, j’y retrouve le goût de ma cyprine. Mes cuisses sont ouvertes, je l’attends. Ah, c’est un poignard qui me transperce d’un seul coup ! Mais non, c’est une douce colonne de chair qui se trouve bien dans mon ventre qui se referme sur elle. Qu’il ne bouge pas, surtout ! Pas encore…
    
    Il le comprend. Quel garçon merveilleux ! Il attend que je remue un peu les hanches et que mes mains cessent de palper ses fesses pour enfoncer leurs ongles dans son dos. Mais je dois faire attention : dos de pharaon, alors je me contente de le caresser. Dommage, quand même !
    
    Puissant va-et-vient. Une machine calme. Mon bassin se ...
    ... soulève, vient heurter le sien. Ses dents de petit fauve mordillent ma lèvre inférieure. Et soudain, la cavalerie ! Il est déchaîné, farouche, il me pilonne avec une telle vigueur pendant ces quelques secondes que je hurle mon plaisir. Le jaillissement du sien me comble de bonheur.
    
    Il a balbutié des mots d’amour ! Catherine, Catherine… Catherine ma chérie. Et le voilà tout essoufflé, son corps pesant sur le mien, ses lèvres sur mes paupières. Je n’ai jamais été aussi bien ! Qu’il reste en moi, qu’il reste ! Ne peut-il bander encore ? Mais je contracte mon vagin en pure perte.
    
    Ses lèvres courent sur mon visage, paupières, front, bouche, paupières, bouche avide de la sienne. Il s’est soulevé sur les coudes et les genoux, il repose à peine sur moi. Il quitte mes lèvres pour mordiller mes seins. Soudain je le bouscule et le voilà sur le dos, moi sur lui, mes dents sur ses petits tétons, ses mains dans mes cheveux. Je descends, je descends, il rentre son petit ventre pourtant si plat ! Son nombril est comme je les aime. Comme on est bête quand on commence à devenir amoureuse !
    
    Sa verge désormais entre mes lèvres est humide de nos sucs mélangés. Mes doigts agiles caressent ses couilles de jeune mâle, je veux qu’il soit plein de vigueur, je le veux en moi de nouveau, je ne suis pas repue de lui, je ne le serai jamais.
    
    — Je veux te faire pareil, tourne-toi… Tourne-toi, s’il te plait, Catherine.
    
    Chaque fois qu’il dira mon prénom, en détachant si bien les syllabes : ...
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