1. Tentations 01: Quelques jours d'égarement


    Datte: 29/05/2018, Catégories: fhh, fsoumise, légumes, zoo, Auteur: Histochris, Source: Revebebe

    ... normes la faisaient vraiment fantasmer. J’en avais eu la preuve la veille.
    
    Dans l’après midi, nous nous retrouvâmes au lit dans le même état que la veille.
    
    Elle ronronnait littéralement, je sentais son corps agité de spasmes de plaisir. Chacune de mes caresses déclenchait une réaction, certes flatteuse, mais disproportionnée.
    
    — Qu’est ce que tu as ? demandais-je.
    — C’est de ta faute, avec tout ce que tu me dis, je suis hyper excitée.
    — Tentée ?
    — Je veux jouer avec mon corps et perdre l’esprit. Je suis prête.
    
    Nous avions souvent évoqué des situations hors normes lors de nos rapports sexuels, et à chaque fois elle aimait me laisser disserter sur le sujet. Elle était alors dans tous ses états et jouissait de m’entendre la pervertir.
    
    Je glissai ma main sur son ventre, elle se cambra, je descendis sur son entrejambe, elle s’ouvrit.
    
    Sa chatte était déjà trempée et ouverte. Elle planta ses dents dans mon cou et soupirant. À part dans l’orgasme, je ne l’avais jamais vu comme ça.
    
    — Mais tu es chaude, bouillante !
    — Je veux des sensations pour rassasier ce désir incroyable je n’en peux plus ! Ta bite ne me suffira pas !
    
    Elle se liquéfiait sur mes doigts qui jouaient à l’entrée de son sexe. Ses lèvres étaient souples, parfaitement détendues.
    
    — Trouve quelque chose, je t’en supplie ! Fais-moi jouir comme une chienne.
    
    Je jetai un coup d’œil circulaire dans la chambre pour répondre à cette supplique. Rien.
    
    Je me levai. Sa main remplaça la ...
    ... mienne.
    
    — Eh là, pas trop vite, sinon tu n’auras plus envie, dis-je.
    — Attache-moi, sinon je ne pourrai pas m’en empêcher !
    
    Je pris la ceinture de son peignoir et lui ligotai les deux poignets en passant le lien dans la tête de lit en fer forgé. Une autre ceinture lui maintint les chevilles. Crucifiée sur le lit, elle me supplia encore de me dépêcher de la satisfaire.
    
    Je partis dans la cuisine car je pensais que la solution à mon problème s’y trouvait. J’ouvris le frigo et contemplai les concombres que le fermier nous avait donnés en précisant qu’ils seraient à coup sûr délicieux. Quatre beaux concombres ! Quatre ! C’était trop mais bon.
    
    — J’ai trouvé, criai-je.
    — Dépêche-toi de venir me baiser, je t’en supplie !
    
    Ces propos vicieux de ma femme m’excitaient vraiment. Je me sentais attiré par cette expérience. Je revins dans la chambre en exhibant mes concombres. J’aperçus alors derrière la fenêtre la silhouette de notre hôte. Il fixait ma femme nue, indécente, attachée sur le lit. Il me fit un sourire complice. Sans hésiter, j’allai jusqu’à la porte fenêtre et l’ouvris.
    
    — Vous tombez bien, lui dis-je.
    — Je ne vous dérange pas ?
    — Pas du tout, entrez.
    
    Il contempla le corps offert de ma femme. Admiratif. Sans faire attention à lui, je m’assis sur le bord du lit. Elle regarda mes légumes avec envie, le corps agité d’ondes. La présence du fermier ne fit que l’exciter plus encore.
    
    — Montre-moi ta queue, lui dit-elle gémissante.
    
    Le fermier n’attendit pas et ...
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