1. Tentations 01: Quelques jours d'égarement


    Datte: 29/05/2018, Catégories: fhh, fsoumise, légumes, zoo, Auteur: Histochris, Source: Revebebe

    ... songe.
    — Tu ne saurais pas quoi en faire.
    — Tu crois ça ?
    
    Nous éclatâmes de rire.
    
    — Allez on rentre, on va voir les exploits de ce Roméo.
    
    Nous regagnâmes la ferme.
    
    Devant la grange, le paysan tenait l’étalon au licol et tentait de le convaincre de monter la jument nerveuse qui en fait ne semblait pas disposée. Après de longues minutes d’essais infructueux, découragé, il laissa tomber.
    
    Je vis combien le regard de mon épouse était attiré par la hampe de l’étalon qui devait mesurer 80 cm. La scène s’acheva quand le paysan décida d’abandonner et que la jument attendrait.
    
    Le soir, au lit, ma femme se fit câline. Sous le drap, elle glissa sa main vers mon entrejambe.
    
    — Qu’est ce qui t’arrive ?
    — Tu n’as pas envie ?
    — Je n’ai pas dit ça.
    
    Sa main commençait à me caresser la queue qui se déploya dans sa main.
    
    — Pas déçue, dis-je en riant.
    — Si, un peu.
    — Oui mais au moins celle-ci tu peux la prendre dans la bouche, dis-je en lui prenant la tête et en la poussant sous le drap.
    
    Elle m’avala tout au fond. Elle aime sucer et ne s’en prive pas, pour mon plus grand bonheur.
    
    — Mais si tu continues à insister, je vais t’emmener voir ce Roméo.
    
    Ma main glissa sur sa hanche. Je la sentis se cambrer. Je contournai la rondeur de la fesse et du bout des doigts caressai la raie. Elle se recula.
    
    — Entre les fesses, tu ne pourrais pas, c’est impossible.
    
    Mon gland fut aspiré brutalement, pendant que ses doigts me massaient les couilles.
    
    — Ça t’a ...
    ... excitée de voir ça ?
    
    Sa langue frottait sous mon frein. Elle m’embrassa goulûment le gland et l’aspira.
    
    Mes doigts pénétrèrent entre les cuisses qui s’ouvrirent. Sa chatte coulait déjà.
    
    — Tu es tellement ouverte que peut-être tu pourrais le prendre dans la chatte.
    
    Son doigt glissa entre mes fesses. Mon majeur rampa dans la fente trempée. Elle soupira d’aise quand j’envahis sa grotte.
    
    — J’ai envie de te voir sucer cette hampe énorme.
    
    Sa croupe s’agitait pour aider mes doigts à la baiser.
    
    — Je veux la voir tremper dans l’entrée de ta chatte, oh putain, je veux te voir te baiser avec cette queue énorme.
    
    Elle respirait fort, la bouche pleine de ma queue.
    
    — Je sais que ça t’a excitée, salope, je le sais, tu aimes la queue.
    
    Elle lâcha ma bite, posa sa tête sur mon ventre et me branla vigoureusement.
    
    — Continue, continue de me dire des trucs, soupira t-elle, excite-moi.
    — Je veux voir ta chatte déborder de la semence de ce cheval, je veux voir ton corps souillé.
    
    Elle jouit en s’empalant sur mes doigts et en reprenant avidement ma queue en bouche.
    
    Je ne tardai pas à la rejoindre dans le plaisir et éjaculai sur sa langue.
    
    Nous ne parlâmes pas de ce qui venait de se passer. Nous avions sans doute un peu honte de ce dérapage tout à fait incontrôlé. Néanmoins, nous avions pris tous deux beaucoup de plaisir.
    
    Nous ne revînmes sur le sujet que le lendemain. Et au cours de la discussion très excitante, mon épouse m’avoua que les pénétrations hors ...
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